Nouvelle-France

Nouvelle-France

Page 105

... Québec se rend alors que la victoire est encore possible. ...

Page 106

... Le général français et son état-major avaient jugé la distance trop grande pour que l’artillerie puisse bombarder la ville. Mauvaise évaluation. Durant deux 106 ...

Page 107

... Quatre jours plus tôt, le général en chef des troupes françaises de la colonie avait déjà rédigé l’acte de reddition de Québec. ...

Page 108

... Une reddition honteuse Le gouverneur Vaudreuil envisage la reddition de Québec, mais pas avant d’avoir épuisé toutes les autres possibilités. Ramezay, le commandant de la ville, est poussé à l’abandon par une petite bourgeoisie locale défaitiste. ...

Page 109

... N ous sommes le 18 septembre 1759, le jour même de la capitulation de Québec. Le capitaine John Knox n’en revient pas. Murray l’envoie avec ses hommes prendre possession de la ville. ...

Page 110

... Les familles privées de leurs hommes valides viennent chercher refuge à Québec, ce qui augmente encore la misère. Seule consolation, l’armée anglaise a respecté les églises. ...

Page 111

... Trois armées britanniques comptant en tout 11 000 hommes encerclaient la dernière ville française encore debout au Canada. Montréal était pour ainsi dire sans défense. Tous, militaires et civils, lui recommandaient de se rendre. ...

Page 112

... Sources : Dictionnaire biographique du Canada ; Boréal Express ; Histoire populaire du Québec , de Jacques Lacoursière ; Histoire de la ville de Québec, 1608-1871 , de John Hare, Marc Lafrance et Thiery Ruddel. 112 ...

Page 113

... 7 La grande aventure 9 Marie Guyart de l’Incarnation 11 Le grand homme de la Nouvelle-France est une femme D’Érik le Rouge à Cartier 16 La route du Nouveau Monde Le déclin de l’empire amérindien 20 L’énigme Champlain 24 La fondation de Québec ...

Page 114

... Qui est le vrai fondateur de Québec ? ...