... Les personnages de la Nouvelle-France acquièrent des traits pleins de vitalité et de santé. Textes et dessins marqués du sceau de l’humour conduisent à une grande aventure faite de contacts et d’échanges. ...

Nouvelle-France
... La cérémonie des obsèques achevée, on s’apercoit qu’on a oublié de fixer ses traits pour la postérité. On remonte le corps du caveau pour tirer un portrait. ...
... Ceux-ci cherchent à enlever aux Français le monopole de la traite des fourrures. Les Iroquois veulent la peau des Hurons ; ils l’auront. Ils veulent détruire la jeune colonie française ; ils passeront bien près de réussir. ...
... Au moment où Champlain installe son poste de traite à Québec, un réseau commercial sophistiqué existe déjà entre nations indiennes. Un réseau qui marche très bien. Pas pour longtemps. ...
... La langue huronne est la lingua franca des réseaux de traite du nord. Les Cinq-Nations iroquoises occupent pour leur part un vaste territoire dans l’État de New York, autour de la vallée de la rivière Hudson. ...
... Champlain s’est dessiné lui-même mais de façon trop floue pour reconnaître le moindre trait. Le portrait le plus célèbre de Samuel de Champlain, qu’on retrouve dans tous les manuels d’histoire, est doublement faux. ...
... Le nationaliste canadien Pierre Berton, dans son My Country , n’hésite pas à traiter Champlain d’assassin. L’ex-premier ministre René Lévesque y met lui aussi son grain de sel. ...
... Pour le moment, il n’est encore qu’un aventurier cherchant la route de la Chine et le commis voyageur d’une compagnie qui fait la traite des fourrures. C’est peutêtre mieux ainsi. ...
... Deuxièmement, va-t-on y installer une colonie ou un simple comptoir de traite ? La France choisit l’Acadie. D’abord à l’île SainteCroix, puis à Port-Royal. Et Champlain est d’accord. ...
... Les compagnies découragent, par la force, la culture et l’élevage au profit de la seule traite des fourrures. Le peuplement devra se faire malgré la métropole. ...