... Pour les associés, « la seule personne capable de traiter et de fournir d’instructions l’ambassadeur du roi » est « le capitaine Champlain ». ...

Œuvres complètes de Champlain, tome 2 (Les)
... Après tout, celui-ci avait cessé de lui verser son salaire quand il bénéficiait du monopole de la traite des fourrures et il avait fallu qu’Hélène Boullé intentât des poursuites contre lui au nom de son mari, de 1626 à 1629 (Baudry : 33). ...
... Tant pour ce sujet que pour d’autres considérations, il lui est accordé, pour cette année seulement, la traite de pelleterie auxdits lieux, après laquelle échue, ceux qu’il aura mis de sa part repasseront en France dans les vaisseaux de la société. » ...
... Il s’agit du Traité de la marine et du devoir d’un bon marinier, ainsi que de la carte générale de la Nouvelle-France dont une version sans doute plus sommaire a été donnée par Champlain à l’ambassadeur français à Londres en 1629 afin de l’aider à défendre ...
... Ce qu’elle craint alors, c’est un refus des Kirke de quitter le Saint-Laurent malgré la signature du traité de Saint-Germain-en-Laye entre la France et l’Angleterre le 29 mars 1632. ...
... Champlain est immédiatement aux prises avec la présence de navires anglais qui se livrent à la traite des fourrures, mais préfère éviter le combat. ...
... Avec son oncle Ezéchiel de Caën, il avait bénéficié du monopole de la traite des fourrures de 1620 jusqu’à la création de la Compagnie des CentAssociés en 1627. ...
... Cela fait, ledit Boullé s’embarque en une chaloupe pour venir m’apporter nouvelle du secours qui nous venait par ledit sieur Emery de Caën et, le sept dudit mois de juillet, ledit Boullé fut pris par la chaloupe du capitaine Thomas15 qui lui fit tirer ...
... En 1625, des membres de la colonie anglaise de Plymouth (Massachusetts) ont reconnu la rivière Kennebec et, en 1628, ont construit un poste de traite au bord de celle-ci, à Cushnoc, près de l’actuelle ville d’Augusta (Maine). 17. ...
... Au roi2 Sire, Le sieur de Champlain remontre très humblement à Votre Majesté que les travaux par lui soufferts aux découvertes de plusieurs terres, lacs et rivières du pays de votre Nouvelle-France, depuis vingt-sept ans3, au lieu de le détourner d’y ...