... Son attachement envers les Français ne s’est jamais démenti et, en , Garakontié fut finalement baptisé à Québec par monseigneur de Laval. Il prit alors le même prénom que le gouverneur de l’époque : Daniel de Rémy de Courcelle. Bruce G. ...

Onontio le médiateur
... premiere union des Iroquois avec les François soit [rompue] et blessée ; mais seulement suplier que l’on confirme la premiere, en leur accordant la continuation de la même protection qu’ils ont cy devant receüe des armes de Sa Majesté, et de ses sûjets ...
... Dans ce puisque si cela étoit les Sauvages qui sont aujourd’hui les amis des François seroient alors leurs plus grands ennemis, n’en ayant plus à craindre d’autres. ...
... La médiation française Iroquois à demeurer en paix et à assurer l’autorité française dans la région des Grands Lacs. ...
... et souhaitaient « passionnement que les François habitent leur païs, surtout ceux qui leur sont plus utiles, comme sont les forgerons et les armuriers ». ...
... Lamberville rapporte même avec une certaine ironie les propos des Iroquois, qui « temoignent que les François ont bien envie d’estre depoüillez, bruslez et mangez, et qu’ils verront si leur chair qui est, disent-ils, salée à cause de l’usage qu’ils font ...
... Je vous promets qu’on vous satisfera pour la perte que les François ont faitte par le pillage de leurs marchandises, et ont promis de leur donner ce printemps mil castors. ...
... Tareha, l’ambassadeur onneiout qui entama les pourparlers avec le comte de Frontenac, en juin , affichait clairement cette nouvelle attitude, en proposant au gouverneur : que s’il veut envoyer deux François qui soient capables de regler les affaires, ...
... Voir aussi Émanuel Bouchard, Édition critique de Bacqueville de La Potherie, Histoire de l’Amérique septentrionale, Lettre XII, tome IV, mémoire de maîtrise, Université Laval, , p. et et Yves F. ...
... : Sa Majesté […] est persuadée qu’estans avertis comme ils [les Iroquois] sont de ce qui a esté convenu avec les Anglois d’unir leurs forces à celles des François pour les obliger de demeurer en paix en cas qu’ils voulussent troubler la tranquilité du ...