... C’est en juillet , lors d’une rencontre avec le comte de Bellomont (nouveau gouverneur de la colonie new-yorkaise), que les Iroquois furent informés de la ratification du traité de Ryswick. ...

Onontio le médiateur
... Le traité leur apparaissait ainsi comme une solution idéale à leurs problèmes, puisqu’il leur offrait la possi. ...
... Durant l’année qui suivit, cette interprétation du traité de Ryswick poussa les Iroquois à rompre leurs négociations avec les Français et à attendre que les Anglais fassent appliquer l’accord à leur avantage. ...
... Les « Sept Feux » dont parlent ici les Iroquois n’ont certainement rien à voir avec la Fédération des Sept Feux, qui exista au Canada sous le régime anglais (Voir J.-P. ...
... Ainsi, s’ils envisageaient sérieusement la ratification d’un traité avec les Français, ils ne pouvaient se résoudre à l’idée d’une paix générale sous l’égide d’Onontio. ...
... Les Iroquois n’hésitaient donc pas à invoquer le traité de Ryswick vis-à-vis des Anglais comme des Français. ...
... Mars : une nouvelle entente franco-anglaise En mars , des commissaires anglais et français se réunirent à Londres pour régler la question de la souveraineté anglaise ou française sur les Iroquois, laissée en suspens par l’article du traité ...
... En agissant ainsi, il cherchait à lier les mains du gouverneur afin de l’obliger à défendre sa nation : puisque les Iroquois remplissaient les clauses du traité francoanglais et évitaient de se battre, le gouverneur devrait lui aussi assumer ses obligations ...
... Traité de paix préliminaire, et septembre , AC, Série CA, vol. , f. v°. ...
... S’inspirant directement du texte ce dernier, Charlevoix écrit que Bruyas « exposa » aux Iroquois « les conditions, sous lesquelles [Onontio] vouloit traiter avec eux. » « Il fut écouté avec une grande attention, ajoute-t-il, & selon les apparences, avec ...