Parti acadien et la quête d'un paradis perdu (Le)

Parti acadien et la quête d'un paradis perdu (Le)

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... Comme solution, il propose l’éventualité de « québéciser » l’Acadie par l’annexion du nord du Nouveau-Brunswick au Québec. ...

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... Voir par exemple la déclaration de l’étudiant en sociologie Bernard Gauvin à la suite de sa confrontation à l’hôtel de ville avec le maire Jones au sujet du bilinguisme à Moncton : « J’ai été à l’Hôtel de ville et j’ai parlé anglais… parce que j’ai été ...

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... Notons qu’en ce qui concerne les indépendantistes québécois eux-mêmes, ils sont loin d’être unanimement enthousiastes devant la québécisation de l’Acadie. ...

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... 44 LE PARTI ACADIEN ET LA QUÊTE D’UN PARADIS PERDU son identité propre », Bluteau suggère que l’hypothétique pays du Québec comprenne une province acadienne autonome qui inclurait les trois comtés du nord du Nouveau-Brunswick84. ...

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... CHAPITRE 1  •  Les origines idéologiques du Parti acadien 45 l’organisme lance une étude sur la possibilité d’annexer le nord du Nouveau-Brunswick au Québec. ...

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... On s’insurge notamment contre le fait que l’université « française » du Nouveau-Brunswick se trouve à Moncton, ville composée de « bâtards de langue française qui ont honte de parler français ». ...

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... De plus, il appelle à un « un suicide collectif » qui permettrait aux Acadiens de « se québéciser, rejoindre nos frères québécois qui parlent la même langue que nous, opter pour que la région Acadie devienne un comté au sein d’un Québec fort, souverain100 ...

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... Plusieurs partisans de l’annexion au Québec, dont de futurs militants du PA comme André Dumont et Euclide Chiasson, veulent aussi prendre contrôle de la mise sur pied de l’association provinciale pour les francophones (et non des Acadiens) du Nouveau-Brunswick ...

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... Raymond LeBlanc propose même d’exclure la ville de 106.  Éric Bédard, op. cit., p. 14. 107.  Jean-Paul Hautecœur, op. cit., p. 302. 108.  « La SNA et son congrès de Bathurst », L’Évangéline, 5 mars 1970. 109.  ...

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... Quoiqu’il affirme que « c’est sur le statut linguistique » que se fonde son projet collectif110, LeBlanc n’a aucunement l’ambition d’augmenter le nombre d’Acadiens ou de locuteurs francophones en incorporant, dans le nouveau territoire acadien, des villes ...