... Quand ils en tuaient des castors, quand ils entendaient venir l’avion, avec leurs fourrures, ils s’en allaient se cacher dans le bois. Sinon, ils se faisaient amener leurs fourrures. C’était eux autres (gardes-chasse) qui prenaient. ...

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... Ce système de réserves à castor visait à répondre au problème de disparition de l’espèce. Son objectif était de limiter la surexploitation du castor. ...
... Cela étant dit, ils continuaient à aller chasser le castor lors du dégel ou encore à tuer des orignaux de temps en temps. À cette époque, les familles qui vivaient ...
... Mi-avril Attente du dégel pour la chasse au castor. Juin – août Peu d’Anicinabek occupent un travail salarié Certains voyagent, font des rencontres, vont à la pêche. Fin août à mi-septembre Cueillette de petits fruits en famille. ...
... Attraper de petits poissons sur les bords des étendues d’eau et en dessous de roches était également une activité appréciée des jeunes. De plus, c’était une manière de ...
... devenir habiles pour attraper les poissons. La cueillette de petits fruits, qu’on retrouvait en abondance aux alentours du Lac Simon jadis, pouvait également faire office d’activité ludique. ...
... À partir de parties internes de poissons, on fabriquait une sorte de colle qui servait notamment à ce type d’artisanat. Des miniatures d’objets de la vie quotidienne étaient fréquemment fabriquées pour les enfants. ...
... On pouvait par exemple déguster du poisson ou de l’orignal. Les kiosques de vente de nourriture comme on en retrouve aujourd’hui n’existaient pas. Il y avait un repas collectif, un makocan (festin). ...
... Beaucoup de nos repas étaient composés de gibier : orignal, caribou, cerf (chevreuil), ours, castor, lynx, perdrix, lièvre, rat musqué, porc-épic, etc. ...
... Les divers poissons faisaient partie de notre alimentation, surtout en été : brochet (kinoje), doré (ogas), esturgeon (name), truite, poisson blanc (adikamek). ...