... Les gens de la Nouvelle-France y sont présents timidement, du moins jusqu’en 1713, année du traité d’Utrecht. ...

Pêche à la morue en Nouvelle-France (La)
... Il acquiert avec des partenaires les droits de traite, de chasse et de pêche qui existent sur le milieu, mais il faut comprendre, pour la suite de l’exposé, ce que signifie pour lui le mot « pêche ». ...
... Je peux citer comme exemple de cet usage des mots le texte de la concession de la baie de Phélypeaux accordée au sieur de Courtemanche en 1714, où il est écrit que le bénéficiaire pourra « y faire la traite avec les sauvages, la pesche des baleines, loups ...
... À la fin de l’hiver 1688, il forme une société avec Jacques de Lalande Gayon et son épouse, Marie Couillard, pour la pêche à la morue et la traite en Minganie6. ...
... Il avait établi un poste de traite à Mingan en même temps qu’une tannerie sur son domaine de la pointe De Lévy. Il avait intégré de la sorte la traite des fourrures à l’industrie naissante du cuir. ...
... Il a vingt-sept ans quand il épouse Marie Couillard, la veuve de François Bissot, un mois à peine avant le mariage du couple Jolliet-Bissot11. ...
... Au début de ses activités, Jolliet privilégie plus la traite que la pêche, surtout à Mingan17. D’ailleurs, avant d’être propriétaire de ses domaines, il avait pris l’habitude de troquer avec les Montagnais de Sept-Îles. ...
... Elle accepte à cette occasion de l’indemniser à même les produits de la traite que leur compagnie ferait dans le futur22. Les clauses convenues, tout en étant valables pour la 19. ...
... Le Labrador, une exploitation ordonnée ♦ 195 pêche des saumons, loups-marins, baleines et baleineaux, mettent l’accent d’abord sur la traite des fourrures et la chasse. ...
... Ces transactions concentrent entre leurs mains près de la moitié des droits de pêche, de traite et de chasse qui existaient pour les trois seigneuries. ...