Pelleteries, manchons et chapeaux de castor

Pelleteries, manchons et chapeaux de castor

Page 27

... Bernier, Guide d’histoire du Canada, Québec, Presses de l’Université Laval, 1969, 540 p. 17. ...

Page 28

... Turgeon, « Vers une chronologie des occupations basques du Saint-Laurent (xvie-xviie s.) » dans Recherches amérindiennes au Québec, vol. 24, no 2-3 (1994). 30. Bruce G. ...

Page 29

... Les archives des corporations ont été brûlées lors de l’incendie de l’hôtel de ville pendant la Commune de 1871. 54. BN, collection des Manuscrits français nos 11692. ...

Page 32

... Dans les grandes villes comme Paris, les pelletiers s’assuraient des approvisionnements sûrs en fourrures communes comme les agneaux, les lapins ou les chèvres en passant des ententes avec les bouchers et les rôtisseurs4. ...

Page 33

... Les fourrures des Flandres arrivaient par le nord de la France en transitant par les villes de Lille et d’Amiens. ...

Page 34

... La ville d’Anvers détournait vers elle la plus grande partie des fourrures qui transitaient par Cologne. Au xvie siècle, Anvers était devenu la place forte de ce commerce et les marchands de toutes les régions d’Europe y étaient représentés. ...

Page 35

... Les Français sont parmi ceux qui participent activement à ce trafic18 qui s’effectuait principalement par les villes du nord de la France (Calais, Boulogne, Abbeville), mais aussi par les ports de la Normandie (Dieppe, Rouen, Cherbourg, Fécamp, Le Havre ...

Page 36

... Bang, Les tables de l’Oresund, 1909 archives notariales des villes engagées dans ce commerce. Prenons, par exemple, le cas des navires des Sables d’Olonne dont les passages sont signalés dans les tables de l’Oresund. ...

Page 38

... où la ville se trouvait aux mains des Suédois27. ...

Page 39

... Hormis une légère baisse structurelle des trafics durant le soulèvement des Flandres contre Philippe II d’Espagne, le trafic hollandais entre la France et les villes de la mer Baltique connaît une croissance ininterrompue jusqu’en 161532. ...