... Bernier, Guide d’histoire du Canada, Québec, Presses de l’Université Laval, 1969, 540 p. 17. ...

Pelleteries, manchons et chapeaux de castor
... Turgeon, « Vers une chronologie des occupations basques du Saint-Laurent (xvie-xviie s.) » dans Recherches amérindiennes au Québec, vol. 24, no 2-3 (1994). 30. Bruce G. ...
... Les archives des corporations ont été brûlées lors de l’incendie de l’hôtel de ville pendant la Commune de 1871. 54. BN, collection des Manuscrits français nos 11692. ...
... Dans les grandes villes comme Paris, les pelletiers s’assuraient des approvisionnements sûrs en fourrures communes comme les agneaux, les lapins ou les chèvres en passant des ententes avec les bouchers et les rôtisseurs4. ...
... Les fourrures des Flandres arrivaient par le nord de la France en transitant par les villes de Lille et d’Amiens. ...
... La ville d’Anvers détournait vers elle la plus grande partie des fourrures qui transitaient par Cologne. Au xvie siècle, Anvers était devenu la place forte de ce commerce et les marchands de toutes les régions d’Europe y étaient représentés. ...
... Les Français sont parmi ceux qui participent activement à ce trafic18 qui s’effectuait principalement par les villes du nord de la France (Calais, Boulogne, Abbeville), mais aussi par les ports de la Normandie (Dieppe, Rouen, Cherbourg, Fécamp, Le Havre ...
... Bang, Les tables de l’Oresund, 1909 archives notariales des villes engagées dans ce commerce. Prenons, par exemple, le cas des navires des Sables d’Olonne dont les passages sont signalés dans les tables de l’Oresund. ...
... où la ville se trouvait aux mains des Suédois27. ...
... Hormis une légère baisse structurelle des trafics durant le soulèvement des Flandres contre Philippe II d’Espagne, le trafic hollandais entre la France et les villes de la mer Baltique connaît une croissance ininterrompue jusqu’en 161532. ...