... Notamment des marchands parisiens qui vendent des parts dans un navire qui va à la traite à l’été 1610. ...
Pelleteries, manchons et chapeaux de castor
... En octobre 1612, les Malouins proposeront de ne pas payer la somme de 6 000 livres et de ne pas faire la traite au Canada pour les années 1613, 1614 et 1615. Voir AN, série E 38A (arrêt du Conseil d’État), fol. 194, arrêt du 23-10-1612. 123. ...
... L’émergence de la traite nord-américaine 93 navires de la flotte anglaise du vin stationnés à Bordeaux. Par représailles, le roi Charles Ier décide d’envoyer des navires faire du pillage le long des côtes françaises. 143. H. P. ...
... chapitre iii Fourrures et conjoncture au xvie siècle L ’ardeur que déploient les traiteurs qui s’aventurent en Amérique du Nord s’explique en partie par l’intérêt manifesté en France pour les fourrures qu’ils rapportent dans les cales de leurs navires ...
... Le traité signé avec les Danois en 15621, mais plus encore la guerre de Sept Ans du Nord2 encouragèrent le développement des échanges à Narva qui continua de s’accroître même après la paix de Stettin en 15703. ...
... Un cessez-le-feu fut signé en 1581, suivi d’un traité de paix en 1583, mais le commerce de Narva était à tout jamais détruit. ...
... La signature de ces traités débouche sur une période de stabilité favorable au commerce français et aux échanges avec l’étranger62. ...
... Dès 1599, nous le retrouvons à Rouen où il prête à la grosse aventure au Malouin Jehan Sarcel, sieur de Prévert, qui se rendait faire la traite à Tadoussac69. ...
... Il fit partie aussi de la plupart des compagnies qui prirent successivement en charge la traite des fourrures au Canada83. Il participait parfois à la gestion de ces compagnies en achetant des marchandises84. ...
... Pour étudier le développement de la traite des fourrures aux xvie et xviie siècles, la plupart ont choisi l’optique d’une demande exclusivement française. ...