... à la minorité, même les francophones hors Québec qui ont choisi de faire instruire leurs enfants en anglais. ...

Piège des langues officielles (Le)
... Manifestement, la Cour parle ici, dans l’affaire Solski qui concerne le Québec, de la situation des minorités françaises dans certaines régions du Canada. ...
... 328 le piège des langues officielles C’est à la lumière de ces considérations visant les francophones hors Québec que la décision prise dans l’affaire Solski prend tout son sens. ...
... Ces considérations, que la Cour suprême impose au Québec dans l’arrêt Solski, on sait aussi qu’elles visent à protéger les minorités françaises parce que de tels propos ont été tenus quelques années plus tôt par la Cour d’appel de l’Ontario. ...
... La communauté anglo-québécoise et le gouvernement du Québec y trouvent, chacun, en partie leur compte11. 10. ...
... Il faut donc doser dans le reste du Canada, comme il faut doser au Québec. La Cour suprême en est consciente. Elle sait jouer parallèlement sur les deux tableaux. ...
... Dans l’affaire Solski, Québec y tient. ...
... chapitre 17 • Le but refusé après la reprise vidéo 333 et démocratique », parce que la situation linguistique du Québec n’est pas celle du reste du Canada. ...
... Celle-ci met en scène des parents francophones, nés au Québec et ayant reçu eux-mêmes leur éducation en français, mais qui souhaitent inscrire leurs enfants dans une école anglaise du Québec. ...
... , deviennent elles‑mêmes des centres d’assimilation si les membres de la majorité linguistique submergeaient les élèves de la minorité linguistique. » Immédiatement après, la Cour suprême prend connaissance du contexte particulier du Québec : Au Québec ...