Piège des langues officielles (Le)

Piège des langues officielles (Le)

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... Fondée sur les bases établies en 1867, constitutionnalisée, prolongée et mise à jour en 1982, 1988 et 2005, cette loi piégeait le Québec et polluait tout le débat sur les droits linguistiques en programmant la division de la francophonie canadienne. ...

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... Dans tous les cas, une nouvelle alliance entre le Québec et les minorités francophones, libérés d’une dynamique de ...

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... Benoît Pelletier, professeur de droit, connu du grand public depuis qu’il a dirigé divers ministères à Québec entre 2003 et 2008 dans le gouvernement de Jean Charest, croit également que Cartier et John A. ...

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... Dans les faits, puisque l’article 133 donne au français à Ottawa ce qu’il donne en retour à l’anglais à Québec, et vice versa, la réciprocité peut demeurer consensuelle tant que Québec considère que la protection du français exige le recours au bilinguisme ...

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... Les francophones hors Québec, qui s’accrochent alors comme jamais au rêve d’un Canada bilingue, apparaîtront comme de bons candidats à envoyer au front contre Québec. Mais n’allons pas trop vite. ...

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... Du 10 au 27 octobre 1864, la ville de Québec est l’hôte d’une conférence réunissant des représentants du Canada-Uni et de toutes les colonies atlantiques, y compris Terre-Neuve. ...

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... Dans les jours suivant la clôture de la Conférence de Québec, le Quebec Chronicle ne traite pas directement de la question de la 46e résolution. ...

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... Dès l’ouverture des débats, Étienne-Paschal Taché, qui occupe le poste de premier ministre du Canada-Uni, fait la lecture en anglais des 72 résolutions de Québec. ...

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... Car ce qu’il demande pour le français à Ottawa, ce n’est rien d’autre que ce que d’autres exigent pour l’anglais à Québec. ...

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... Dans Québec, il se présente comme indépendant et, dans la cité de Québec, comme membre de l’opposition. ...