... Cette attention particulière envers le chef est éloquemment démontrée par le baptême de « Daniel Garakontié, le plus considérable [d’Onnontagué] ; & le chef de toutes les Nations Iroquoises », rite célébré à Québec en 1670 par l’évêque de la colonie, ...
Pierre Millet en Iroquoisie au XVIIe siècle
40 résultats
- < Précédent
- 1
- 2
- 3
- 4
- Suivant >
... En 1668, une ambassade onnontaguée, menée par Garakontié, premier du nom, se rend à Québec. ...
... En 1670, alors que Millet était responsable de la mission d’Onnontagué, « Daniel Garakontié, le plus considérable [d’Onnontagué] ; & le chef de toutes les Nations Iroquoises », était baptisé à Québec par l’évêque François de Laval, son parrain n’étant ...
... Un ville est à demi prise quand on peut avoir des intelligences dans la place ; et je remarque qu’on a bien plus d’entrée pour instruire les Sauvages quand il y a quelqu’un de la maison ou de la ...
... Notons que ces notions de « prendre une ville » et d’infiltrer des « intelligences » qui agiraient, en quelque sorte, comme une « cinquième colonne », illustrent de manière non équivoque le caractère militariste de l’offensive missionnaire. ...
... *un ancien *plusieurs chefs, beaucoup d’anciens *Soenrese (un chef) *1 chef Andastoqué et 2 femmes suppliciés 4 + (4M) *Garakontié, baptisé à Québec par Mgr Laval ? *épouse de Garakontié ? ...
... Dans une lettre écrite à Frontenac en remerciement de son appui, Millet constata que le chef avait pris très au sérieux la requête du gouverneur : L’orateur a desja proposé icy de vous donner des enfans a faire instruire, a Quebec il y a bien de la difficulté ...
... N’étant jamais retourné vivre parmi les siens, il mourut à Québec (Burleigh, 1967 : 540-541). ...
... missionnaire : Un de leur deputez me vint Un Jour faire compliment dans ma petite Grotte de la part de Monsieur le Commissaire dOrange sur lEstat de ma Captivité disant quIl me portoit compassion quil Songeoit efficacement a me dlivrer & a me faire ramener a Quebec ...
... Le député d’Albany relaya tout bonnement la proposition émise par Québec, ce que le missionnaire ne dit pas clairement, soit parce qu’il avait mal compris, soit parce que le député voulait prendre pour les Anglais le crédit de rendre à Tariha deux jeunes ...