... Dans son Histoire populaire du Québec, Jacques Lacoursière affirme : Presque tous les animaux à fourrure sont objets de traite. Le plus commun demeure le castor. ...

Pierre Miville
... Ils achètent, à crédit, 4 621 livres et 16 sols de marchandises de traite de Charles Aubert de La Chesnaye (1 628 livres et 6 sols), de Daniel Biaille (2 299 livres et 10 sols), de la damoiselle Amyot (612 livres), du « nommé André » (72 livres) et du ...
... Jacques et sa mère s’engagent à rembourser à leurs créanciers le prix des marchandises de traite. ...
... Cela est, tout compte fait, injuste parce que Charlotte n’est pas la seule responsable des déboires de la campagne de traite. ...
... Sept jours plus tard, le conseil ordonne que « François Miville soit curateur a la personne et biens de la dicte Charlotte Mongis sa Mère […] ». Pauvre Charlotte ! Elle ne doit plus rien comprendre de ce qui lui arrive. ...
... Le 1er novembre 1679, devant Romain Becquet, Alexandre Petit délaisse à titre de bail à Georges Cadoret, pour une période de cinq ans, une habitation, celle de feu Pierre Miville, contenant sept arpents de terre de front « sur laquelle il y a maison logeable ...
... François Miville poursuivra quand même ses activités de traite des fourrures. ...
... Cette dernière épousera Prisque Boucher le 6 avril 1712 à Rivière-Ouelle, où elle trépassera le 18 juin 1758, soit en pleine guerre de Sept Ans. Comme la vie n’est pas un long fleuve tranquille, tout ne peut pas bien aller. ...
... Il est, à première vue, étonnant que ce couple se classe septième parmi les 10 pionniers qui ont fourni le plus grand nombre de descendants mariés avant 1800, soit 6 552 personnes ! ...
... Suzanne Le septième et dernier enfant du couple Miville-Mongis, Suzanne (Susanne), née le 24 janvier 1640, épouse à 15 ans le charpentier de navire Antoine Poulet le 12 avril 1655 à Québec. ...