Pierre Miville

Pierre Miville

Page 112

... Suzanne aura sept enfants durant sa courte vie, dont l’un vivra un drame affreux. Comme toutes les familles de son temps, la famille Poulet est aux prises avec un quotidien qui n’est pas toujours joli. ...

Page 114

... En 1681, il possède un fusil et sept arpents en valeur, un arpent de moins qu’en 1667 à cause de son métier. ...

Page 116

... Comme la nature a ses lois biologiques, bon nombre de ces jeunes gens qui courent les bois pour faire la traite des fourrures ont pris l’habitude de fréquenter de très près les belles Amérindiennes. ...

Page 128

... » Mais Catherine est forte et donnera à Jacques sept enfants, dont un seul mourra dans l’enfance : 169.  Guy Oury, op.cit., p. 865. 170.  ...

Page 131

... Étonnamment, Jacques louera à bail, de Charles Aubert de La Chesnaye, son ancienne terre de la rivière Saint-Jean sept ans plus tard177. Quoi qu’il en soit, en 1681, le cadet des Miville déclare 2 fusils, 7 bêtes à cornes et 8 arpents en valeur. ...

Page 133

... Si sa vie a marqué ses contemporains, c’est qu’il a aussi été bien épaulé par une femme, Charlotte Mongis, qui a soutenu les siens au point d’être actionnaire d’une entreprise de traite des fourrures. ...

Page 137

... Fermier du monopole de Tadoussac sur la traite des fourrures à partir de 1663. ...

Page 138

... Membre de la Société des traites de Tadoussac en 1659, il signe son dernier acte notarié le 22 octobre 1663, et quelques jours plus tard, il vend son greffe de 1067 minutes à Pierre Duquet, puis rentre en France. ...

Page 141

... Devenue veuve, elle passe en Nouvelle-France, où elle épouse, le 9 novembre 1635, à Québec, Jean Bourdon, sieur de Saint-François et de Saint-Jean, procureur de la Communauté des habitants de la Nouvelle-France, qui est devenu veuf et qui a sept jeunes ...