Pierre Miville

Pierre Miville

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... Ils achètent, à crédit, 4 621 livres et 16 sols de marchandises de traite de Charles Aubert de La Chesnaye (1 628 livres et 6 sols), de Daniel Biaille (2 299 livres et 10 sols), de la damoiselle Amyot (612 livres), du « nommé André » (72 livres) et du ...

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... Jacques et sa mère s’engagent à rembourser à leurs créanciers le prix des marchandises de traite. ...

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... Cela est, tout compte fait, injuste parce que Charlotte n’est pas la seule responsable des déboires de la campagne de traite. ...

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... François Miville poursuivra quand même ses activités de traite des fourrures. ...

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... Il y a fort à parier que c’est Catherine Marie qui a poussé son mari à intervenir auprès des autorités judiciaires coloniales. ...

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... On ne traite assurément pas les enfants au xviie siècle comme nous le faisons au xxie, ce qui ne signifie pas pour autant que nos ancêtres n’aimaient pas leur progéniture. Ils l’aimaient simplement d’une autre façon. ...

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... marchand de Québec et beau-père par alliance de sa sœur Marie, Jacques Miville entreprend un voyage, sûrement dans le but de faire la traite des fourrures parce qu’il prévoit revenir le printemps suivant, moment où il compte rembourser ledit Maheu153. ...

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... En août 1669 débarque à Québec un contingent de 149 jeunes femmes et jeunes filles qui arrive tout droit de la Salpêtrière, un hôpital de Paris dont la réputation est ambiguë. ...

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... Il en est tout autrement à Paris, où spadassins et malfrats, en quête d’escarcelles sonnantes, transforment les rues en de véritables coupe-gorges. ...

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... Son oncle, Denis Chartier, sieur des Fontaines, connaissait bien la mère de Catherine, Louyse de Marle, puisqu’il l’avait logée en 1646 à Paris et que lui-même avait vécu dans un fief contigu à la Massicotterie, les Enclaves, propriété de Louyse jusqu ...