... Une délégation huronne menée par Atironta vient conclure officiellement l’alliance à Québec l’année suivante. ...

Premières Nations du Canada (Les)
... Le nombre de peaux qui se trouvent à Québec lorsque la ville tombe aux mains des Anglais en 1629 révèle l’ampleur du commerce: de 3 000 à 4 000 peaux y sont entreposées après une mauvaise année de traite. ...
... En 1634, il fonde Trois-Rivières, qui doit servir de tampon à Québec, puis entreprend de fortifier le Saint-Laurent, avant de mourir l’année suivante; les Iroquois répliquent en construisant sur le fleuve des forts d’où ils harcèlent les convois de traite ...
... Aux yeux de Tehariolina, par ce geste, ainsi que par leur retraite vers Québec, les Français rompent leur promesse de protection envers leurs alliés. ...
... Un dernier élément s’ajoute à la saga des réfugiés hurons dans la vallée du Saint-Laurent lorsqu’une décision d’une cour de justice du Québec, en 1990, reconnaît leurs droits sur de vastes territoires de la province. ...
... Le déclin de Tadoussac, à l’entrée du Saguenay, après l’établissement de Québec en 1608, ainsi que la pénétration des Français jusque dans la région des Grands Lacs, afin d’y établir des liens directs avec les Hurons quelques années plus tard, soulignent ...
... À Québec, les Français sont profondément ennuyés par la présence sans cesse croissante des Anglais en Amérique du Nord; ils déclenchent deux grands mouvements d’encerclement: le premier (1671) est amorcé à partir des Grands Lacs en direction ouest et ...
... Les Français, étonnés d’apprendre que l’Angleterre revendique la possession de cette région en vertu de l’expulsion des Hollandais deux ans auparavant (1664), achètent des vivres aux Anglais et rentrent à Québec. ...
... Un Montagnais converti de Québec, Noël Negabamat (Tekouerimat, v. 1600-1666), demande qu’on ne puisse invoquer la peine capitale parce que ses gens ignoraient l’existence de ce châtiment pour viol; pourtant, étant donné leur longue amitié avec les Français ...
... Néanmoins, sur le front ouest, ils ne maîtrisent pas autant la situation qu’à Québec ou à Montréal; là-bas, non seulement les Français vivent dans des villages amérindiens, mais nombre d’entre eux commercent avec l’Anglais60. ...