... Rien n’indique que les résidents actuels souhaitent la dissolution de leurs réserves ; le Canada encourage depuis plus d’un siècle, par un système de réserves et de traités, les communautés autochtones à survivre comme collectivité. ...

Premières Nations ? Seconds regards
... Bien qu’ils n’aient pas fait partie de leur culture, de tels droits étaient déjà solidement établis à l’époque où ces chasseurs des forêts conclurent des traités de cession du territoire au xixe siècle et au début du xxe. ...
... En l’absence de machinerie et d’animaux de trait, le travail devait être accompli collectivement à la force des bras et, en l’absence d’engrais animal (les Indiens utilisaient de la cendre pour fertiliser les sols), les champs devaient être périodiquement ...
... Ils se considéraient maîtres du territoire et s’emparèrent de tout ce dont ils avaient besoin pour construire des forts, des postes de traite, des villages et des fermes. ...
... , seconds regards La Proclamation royale du 7 octobre 1763, par laquelle le gouvernement britannique organisait les colonies du Nouveau Monde acquises de la France par le traité de Paris au terme de la guerre de Sept Ans, constitua la première tentative ...
... Boyd avait écrit : La politique coloniale de la Grande-Bretagne, relativement aux réclamations et au traitement des populations autochtones d’Amérique, a été dès l’origine bien définie et d’application uniforme. ...
... Ils avaient tout simplement renoncé à leurs droits usufructuaires de chasse et de pêche en retour des divers bénéfices énoncés dans le traité. ...
... Le nouveau gouverneur et la nouvelle Assemblée législative retirèrent aux Indiens leurs droits de vote et de préemption, les abandonnant ainsi dans des réserves trop petites, dépourvus de traités et privés de la reconnaissance de leur titre autochtone ...
... en quête de propriété 133 Bob (1964), la Cour d’appel de la Colombie-Britannique statua que les conventions d’achats de terres conclues par Douglas devaient être considérées comme des traités. ...
... Cela signifie que les autochtones ne peuvent vendre leurs terres au plus haut soumissionnaire ; ils ne peuvent traiter qu’avec le gouvernement fédéral. ...