Prisonnier à Bordeaux

Prisonnier à Bordeaux

Page 96

... Sept heures… Les cuisiniers mangent à leur tour. La moitié des petits pains restent intacts sur la table de pierre. Peut-on avoir appétit lorsqu’un compagnon va mourir ? Bruit de pas rapides. Tous repartent. ...

Page 101

... L’arsphénamine, connue sous le nom de 606, était utilisée pour le traitement de la syphilis. ...

Page 104

... 104 prisonnier à bordeaux Nous marquons d’un trait de mine, une barre droite d’un quart de pouce, coupant d’un ravin les six routes invisibles. ...

Page 147

... La vérité, rien que la vérité… 147 19 février 1932 « Sept heures… Bruit de pas rapides. Tous repartent. Un petit vieillard, aux yeux d’aigle, passe entre les bouilloires. ...

Page 160

... Les effets de l’isolement cellulaire sont si néfastes que l’Organisation des Nations Unies le décrit comme un traitement « cruel et inusité » qui peut même être considéré comme de la torture16. 10.  ...

Page 161

... Alain Chapdelaine, « Comment traite-t-on les détenus de Bordeaux ? », Le Petit Journal, 22 février 1931. 19.  Jean Malpigny, « La vérité sur Bordeaux, Qui veut la faim, prend les moyens », Le Miroir, 3 juillet 1932. 20.  ...

Page 162

... Puis en 1952, des détenus en colère se révoltent en raison du traitement humiliant qu’ils subissent aux mains des gardiens. Des feux sont allumés, les détenus armés de couteaux repoussent les gardiens, pris au dépourvu. ...

Page 165

... Puis il les lisait à voix haute, prenant un vif plaisir à répéter telle image, tel trait de plume éclatant d’humour ou de bonne humeur gauloise. « Plusieurs gros romans de notre petite littérature, s’écriait l’impitoyable Asselin, ne valent pas ces quelques ...

Page 167

... Adolphe est le deuxième enfant d’une fratrie de sept. 1898 Mort de Pacifique Nantel, victime de la fièvre typhoïde. ...

Page 168

... Sept enfants d’Alice et Adolphe vont mourir entre 1917 et 1925. 1926 Adolphe quitte la famille. ...