... du droit n’ont besoin que d’une autorisation générale à cet égard de la part du mari ou de la cour selon le cas. » Les amis de la première candidate au barreau et le parrain du bill n’ont pas perdu de temps, puisque ce projet de loi est présenté à Québec ...
Québécoises et le barreau (Les)
... Le comité procède donc à l’étude du bill 177 le 29 février 1916 et reçoit les témoignages de Me Jacobs, l’avocat de Mme Langstaff, de Marie Gérin-Lajoie et de Mme Grace Ritchie England, une des premières femmes médecins du Québec. ...
... Mme Gérin-Lajoie, née Lacoste, est une personnalité très bien connue dans le Québec de l’époque. ...
... aux femmes du Québec. ...
... Les vaines tentatives de Lucien Cannon 43 madame pankhurst à québec Si Madame Emmeline Pankhurst, la fameuse suffragette anglaise, s’était bornée, lors de son passage à Québec, à plaider la cause de l’infortunée Serbie, pour laquelle elle s’était annoncée ...
... 44 Les Québécoises et le barreau Madame Pankhurst s’est permis d’exprimer l’espoir que les femmes de la ville de Québec inaugureront, tôt ou tard, un mouvement sérieux en faveur du suffrage féminin. ...
... Les vaines tentatives de Lucien Cannon 45 Une nouvelle Chambre, un nouveau bill Cette année 1916 est une année d’élections générales au Québec et la nouvelle Assemblée législative issue du scrutin du 22 mai donne de nouveau une solide majorité au gouvernement ...
... La législation que le Parlement discute en ce moment à Québec a soulevé en France et aux États-Unis, où elle est établie depuis quelques années, le même intérêt et la même curiosité qui amenait hier dans les galeries du public une assistance tardive mais ...
... Le Soleil, Québec, 7 décembre 1916, p. 14. choisir entre son devoir de mère et ses responsabilités d’avocat : « Je ne veux pas, dit-il, lui imposer une peine de déchéance qu’elle ne mérite pas. ...
... À Québec, le départ de Lucien Cannon vers Ottawa laisse la cause sans parrain pendant quelque temps, mais, en 1920, elle réapparaît au cœur de l’actualité. ...