Relais (Le)

Relais (Le)

Page 261

... Le rapport entre la ville centre et les douze autres villes de la Communauté urbaine de Québec a été une problématique jusqu’à ce que les fusions se fassent en 2001, parce qu’il y avait une seule assiette fiscale sur laquelle les treize municipalités ...

Page 262

... Il fallait garder un point pour les revenus du Québec et redonner l’autre point aux Villes. Nos problèmes auraient été réglés pour bien des années. ...

Page 263

... Je l’avais mentionné dans mon engagement politique initial à la Ville : je souhaitais faire de la culture le point central du développement de Québec, qui était une capitale, une ville culturelle, une ville historique. ...

Page 264

... Je me faisais aussi un devoir de ne pas accroître la dette de la Ville et de ne pas augmenter les impôts des contribuables. ...

Page 265

... À partir du moment où on a la responsabilité d’une ville comme Québec, les exigences en matière de développement sont plus élevées. Par exemple, à place D’Youville, on ne peut pas faire n’importe quoi. ...

Page 266

... On ne demandait pas à l’entrée : êtes-vous de Québec ? Tout cela devenait agaçant pour les citoyens de Québec. On disait ...

Page 267

... Jusqu’à la fusion de villes en 2001, le maire de Québec était condamné à diriger une petite ville de 170 000 habitants et ne pouvait faire ce qu’on peut maintenant faire avec une ville de plus d’un demi-million d’habitants. ...

Page 268

... (Archives de la Ville de Québec) Avec la délégation de l’Association internationale des maires francophones (AIMF) déambulant dans les rues de Québec, 1999. (Archives de la Ville de Québec) ...

Page 269

... On atténuait le poids des banlieues extérieures à Québec sur la ville. ...

Page 270

... Québec venait d’y entrer, en 1985, et on s’est aperçu qu’il n’y avait pas d’endroit où les villes pouvaient échanger et se parler. ...