... C’est ainsi que Robert Bourassa avait dirigé sa campagne et c’est pour franchir une étape moderne du développement du Québec, dans la suite de la Révolution tranquille, que les gens l’avaient préféré à Jean-Jacques Bertrand qui ne projetait d’aucune façon ...
Relais (Le)
... Voir Trudeau et ses mesures de guerre, vus du Canada anglais, Québec, Septentrion, 2012, p. 280, 284 ; Jacques Lacoursière, dans Histoire populaire du Québec, tome 5, 1960 à 1970, Québec, Septentrion, 2008, p. 409-410, retient 500 arrestations, 4 600 ...
... chapitre 9 • La crise d’Octobre 1970 151 Montréal, Me Michel Côté, devant le comité mixte du Parlement et du Sénat au sujet de la Compagnie des jeunes Canadiens, mise sur pied par Jacques Hébert39. ...
... puissant dont nous puissions nous servir pour promouvoir le progrès culturel, le progrès social et le progrès démocratique chez nous et chez notre population47. » Lors de la création du ministère des Communications, en 1969, le premier ministre Jean-Jacques ...
... On peut cependant consulter avantageusement Jacques Rouillard, Le syndicalisme québécois : deux siècles d’histoire, Montréal, Boréal, 2004, p. 183-184 ; Gilles Laflamme et Réal Allard, Les débrayages massifs de mai 1972 au Québec, Québec, Université Laval ...
... La rencontre avec Jacques Parizeau Je ne connaissais Jacques Parizeau que de réputation, je ne lui avais jamais parlé et je ne l’avais jamais rencontré. C’est par ses écrits et ses discours que je le connaissais. Il me faisait forte impression. ...
... Jacques Parizeau me dit donc : « On commence par quoi ? » J’ai été désarçonné par sa question, car nous ne sommes pas du même parti. Je ne suis pas conseiller du gouvernement et il n’est pas luimême responsable de la culture ou de l’éducation. ...
... Jacques Parizeau est devenu premier ministre à la suite des élections du 12 septembre 1994. Il a été ministre de la Culture du 30 janvier au 3 août 1995, après la démission de Marie Malavoy. 67. ...
... Jacques Parizeau m’a dit un jour : « Vous savez, on ne naît pas souverainiste, on le devient. » En 1970, Robert Bourassa m’avait confié la responsabilité d’un ministère qui entrait souvent en conflit direct avec les choix du gouvernement fédéral. ...
... J’ai même été dénoncé par un collaborateur québécois de la Délégation, auprès de Jacques-Yvan Morin, devenu ministre des Affaires intergouvernementales et qui avait remplacé Claude Morin. Je passais pour un « collaborateur du fédéral » à Bruxelles. ...