... Jusqu’en 1652, la Compagnie générale puis la Communauté achetaient en France les articles de traite au meilleur coût, en organisaient le transport en Nouvelle-France, les échangeaient aux Amérindiens contre des fourrures au meilleur avantage possible, ...
Réseau du Canada (Le)
... En 1648, il se produisit deux premières ouvertures : 1) le commerce des produits métropolitains qui n’étaient pas des objets de traite fut libéré de la contrainte du monopole et 2) l’autorisation fut accordée aux colons de se rendre chez les Amérindiens ...
... Ainsi, un objet européen de traite ou de consommation était vendu en Nouvelle-France 75 % plus cher qu’en France. ...
... Ce traité fut dénoncé par Québec à la fin de 1661, ce qui permit à nouveau la venue des Rochelais en 1662. ...
... Dans sa requête au roi du 20 février 1660, afin de faire valider le traité qui avait été signé, Robineau se présentait comme un associé de la Compagnie générale, tout en précisant qu’il avait signé le traité en tant que représentant du Conseil de la traite ...
... Mais, en 1662, le contrat de quatre ans, signé en février 1660 avec la Compagnie de Normandie, fut résilié suite aux pressions de certains habitants de la vallée du Saint-Laurent qui, depuis dix ans, avaient commencé à faire de la traite et du commerce ...
... Ce chargement ressemble plus à des marchandises répondant aux besoins des colons qu’à des marchandises de traite. ...
... Première condition, accepter que son navire soit visité pour vérifier qu’il ne transportait pas de pelleteries dont il ne pouvait ni lui ni son équipage faire la traite. ...
... Nous avons traité à part la recrue de François Peron de 1655 car elle répondait à une demande de Jean Bourdon, les contrats des engagés étant tous clairement établis à son nom. ...
... Avaient-ils un accord avec Nicolas Denis, concessionnaire de la traite dans le golfe ? Pourquoi se retrouvèrent-ils à Québec ensuite ? ...