... 42 rêves, contraintes et pressions 1975, le comité met au monde la Fédération des francophones hors Québec (FFHQ)114. ...

Rêves, contraintes et pressions
... L’assemblée de 1975 presse la Ville de Dalhousie à embaucher un directeur en récréation bilingue afin de « servir équitablement les deux groupes », là où « les francophones constituent plus de 65 pour cent de la population125 ». ...
... D’ailleurs, l’État québécois vient d’approuver le financement d’une étude pour comparer « la situation des anglophones du Québec et […] celle des francophones dans les neuf autres provinces151 ». ...
... La révélation pousse Donatien Gaudet à tenir un point de presse à Québec, le 26 avril 1976, pour décrier la difficulté d’« obtenir l’égalité173 » au sein de l’appareil néo-brunswickois. ...
... Les pressions sont ponctuelles au début : en août 1974, la SANB « retourne deux billets de contravention unilingue anglais à la Police municipale de Moncton187 » et, en mars 1975, convainc l’hôtel de ville d’y 182. ...
... Lorsque Richard Hatfield prend la parole contre la Loi sur la langue officielle du Québec (1974), la SANB sent le besoin de défendre la nation voisine, et d’inviter le premier ministre à montrer un peu plus de lucidité sur les failles 188. ...
... Tenue à Québec avec des délégations de Jurassiens, de Wallons, d’Acadiens, de Québécois et d’Italiens d’Aoste pour échanger entre « groupes francophones occupant un statut de minoritaires dans leur propre pays », elle représente le « référendum en tant ...
... Mais des obstacles se présentent rapidement : le coordonnateur, chargé d’établir les comités régionaux, démissionne en février 1978 et seul le Québec se montre ouvert à financer le sommet. ...
... Les négociations constitutionnelles et la tenue prochaine d’un référendum sur la souveraineté-association au Québec nourrissent un sentiment d’urgence pour que les Acadiens se prononcent sur leur avenir. ...
... Ensuite, 32 % des voteurs épousent plutôt « l’idéal » d’une plus grande autonomie au sein du Nouveau-Brunswick ; enfin, seuls 9 % choisiraient la partition du Nouveau-Brunswick pour une annexion au Québec ou la réalisation d’un « pays acadien ». ...