Revue d'histoire de la Nouvelle-France, No 2

Revue d'histoire de la Nouvelle-France, No 2

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... , avant de présenter, dans un second article, une affaire incroyable où se mêlent magie, torture et invités prestigieux… Comment Jean Boudor, un marchand a priori paisible de Ville-Marie, peut-il se retrouver en 1689 au cœur d’un procès pour mauvais traitements ...

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... par l’esprit de tolérance de l’édit de Nantes promulgué par Henri IV, aurait considéré et traité les Autochtones avec humanité, en cherchant à s’allier avec eux et à établir les bases d’une société nouvelle marquée par la paix et la concorde. ...

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... En octobre, Jeanne des Anges finit par désigner les sept démons qui la possèdent : Astaroth, Zabulon, Cham, Nephtalon, Achas, Allix et Uriel. Issue de la petite noblesse, la jeune femme est une des fondatrices du couvent. ...

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... Ce cas de sorcellerie qui a déchiré les nuits de Beauport et de Québec à partir de l’automne 1660 n’avait jamais bénéficié d’un traitement aussi complet. Cette possession démoniaque a pourtant marqué durablement l’histoire de la colonie. ...

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... Or, à l’Hôtel-Dieu, les sœurs qui sont aussi infirmières peuvent traiter le corps et les âmes de leurs patients ! Cela tombe bien, n’est-ce pas ? Catherine de Saint-Augustin va beaucoup s’occuper de Barbe Hallay. ...

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... Comment la cour de Montréal a-t-elle traité des déviances, comme les cas de sorcellerie, et quelles ont été les répercussions sur la société coloniale de Ville-Marie ? ...

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... Ils sont fréquentés par les habitants, tant gentilshommes que soldats, cultivateurs, artisans, voyageurs de traite et Autochtones résidents ou de passage. ...

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... Un livre « qui traite des choses de magie ou sortilège » Rares sont les témoins à avoir vu un livre de magie entre les mains d’Anne de Lamarque. Pourtant, son existence est connue par l’ensemble du voisinage grâce au bouche à oreille. ...

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... Louis Le Cavelier et Marguerite Prud’homme ont entendu dire que c’était plutôt « un meschant livre qui parloit de se faire aimer », un livre qui « traite de l’amour ». ...

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... Testard non seulement traite sa femme de « putain, carogne et autres », mais il confie aussi à son voisin Bouat : « Je crois que ma femme est un diable. Il y a quelques pactes. ...