... r p u o b r r t i q r u a e i t Entre Montcalm et Voltaire, le curieux parcours de François de Caire Michel Thévenin, historien et auteur du blogue Tranchées & tricornes Arrivé à Québec au printemps 1759, l’ingénieur militaire François ...

Revue d'histoire de la Nouvelle-France, No 5
... Son père Joseph de Caire est officier d’infanterie et major de la garnison de la ville. L’enfance du futur ingénieur reste, hélas !, inconnue. ...
... De Caire accompagne alors les restes de l’armée française qui se replient en direction de Montréal et qui laissent Québec à son sort, la garnison de la ville se rendant aux Britanniques le 18 septembre. ...
... Québec au printemps 1760 et au siège de la ville au début du mois de mai. ...
... Il arrive en effet devant Pondichéry à la fin de l’été de la même année, alors que la ville est assiégée par les Britanniques, et le navire sur lequel se trouve l’ingénieur est capturé avant même d’avoir pu toucher terre. ...
... De Caire multiplie les arguments pour contredire les attaques contre son corps, que ce soit sur l’importance des villes fortifiées ou des retranchements temporaires en temps de guerre, ou sur la difficulté et l’ensemble des savoirs scientifiques mobilisés ...
... À la suite d’une inspection des maisons de la ville, Guiton ordonne l’évacuation d’une maison en mauvais état pour éviter qu’elle soit à l’origine d’un embrasement. ...
... Il obtient un jugement par contumace en première instance (Sylvain ayant quitté la ville), mais le Conseil supérieur met les parties hors de cour en appel. ...
... Pendant la guerre, il avait aussi reçu une commission de subdélégué de l’intendant lui permettant de juger des affaires sommaires, tant à la ville qu’à la campagne. ...
... Dans une lettre adressée à son fils, le 25 juin 1660, Marie de l’Incarnation relate qu’on fait de même à Québec : on y utilise « une douzaine de grands chiens […] pour écarter les Sauvages ; car ils craignent autant les chiens français que les hommes, ...