Revue d'histoire de la Nouvelle-France, No 6

Revue d'histoire de la Nouvelle-France, No 6

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... Montréal tirera profit de la reprise de la traite dans cette période difficile  : le commerce des fourrures connaît alors une première phase de développement. ...

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... Pour Louis XIV, cette ville, qui de plus en plus occupe un rôle central dans la traite des fourrures du Canada, s’efforce obstinément de vivre en retrait du gouvernement colonial. ...

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... Vers 1700, la traite montréalaise se concentre surtout entre les mains de quelques gros marchands qui équipent les voyageurs de traite pour le Pays-d’en-Haut et le pays des Illinois. ...

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... Il est devenu une petite ville commerciale, grouillante d’une population bigarrée, dont l’économie gravite autour des activités de traite. ...

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... Puis, le 4 août, elles scellent un traité qui définit les relations pour les décennies à venir. ...

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... Ce document est connu sous le nom de « Traité de la grande paix de Montréal de 1701 ». Revue d’histoire de la Nouvelle-France ] no 6 ] printemps 2025 73 ...

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... Ces rivalités exercent une influence sur les personnages subalternes qui dépendent des faveurs des puissants dans un système clientéliste, notamment en lien avec la traite des fourrures. ...

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... Plus que la traite, il y a l’agriculture Quelques années avant la Grande Paix, les marchands de Montréal ont dû composer avec l’abolition des congés de traite de castor et la fermeture des postes de l’Ouest (sauf trois) en 1696. ...

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... Malgré cette importance de la traite, la très grande majorité de la population montréalaise vit d’agriculture. ...

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... Véritable support mémoriel, le wampum servait en effet à sceller les alliances, à enregistrer les traités et à perpétuer les récits collectifs. ...