Saint-Hyacinthe, 1748-2023

Saint-Hyacinthe, 1748-2023

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... (Fonds Le Courrier, SHSH) Le maire Lafontaine est élu à la présidence de l’Union des municipalités du Québec en 1968, mais il est battu à la mairie la même année par l’avocat Léon Nichols. ...

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... Léon Nichols quitte l’hôtel de ville en 1971, sans demander de renouvellement de mandat. ...

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... (Fonds Le Courrier, SHSH) le développement trop rapide des villes de banlieue entraîne des carences évidentes sur le plan des infrastructures et des services, ce qui aurait inévitablement donné lieu à de substantielles hausses de taxes. ...

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... Une identité nouvelle La fusion est incontournable pour le bien de l’agglomération maskoutaine, mais la nouvelle ville éprouve des difficultés à se trouver une identité. ...

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... Le temps du renouveau a définitivement sonné à l’hôtel de ville et même le très respecté Léo Bibeau, élu cinq ans plus tôt, subit la défaite. ...

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... Il s’agit d’un espace d’appartenance intégrant ville et campagne. Le rôle fondamental d’une MRC comme celle de Saint-Hyacinthe, créée en 1982 ...

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... Un souffle nouveau au centre-ville La décennie 1980-1990 est celle de l’administration Rhéaume. Sa présence à la mairie jusqu’en 1992 est marquée par une contribution importante à la rénovation du centre-ville. ...

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... (Le centre-ville de Saint-Hyacinthe, croquis de Francis Lavoie, architecte, 1984, collection SHSH) Courchesne et s’inscrit dans une dynamique de réappropriation du centre-ville. ...

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... Faute de moyens et considérant être mal appuyée par Québec, la ville renonce à sa reconstruction et se contente d’en rénover les voies d’accès. ...

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... Une première canadienne La ville poursuit les efforts des administrations précédentes depuis la fusion pour consolider son titre de capitale de l’agroalimentaire au Québec. ...