... Ils pourront rapporter en France toutes leurs fourrures traitées au Canada, leurs marchandises de traite laissées à Québec, ainsi que leurs barques, canots, agrès et ustensiles qui s’y trouvent encore, lesquels leur seront rachetés par les nouveaux associés ...
Samuel de Champlain - biographie
... On y apprend que le capital de la Compagnie de Montmorency sera divisé en douze parts, la Compagnie du Canada en détenant cinq et celle de Caën sept. ...
... Le Dieppois reste deux jours, pendant lesquels Champlain l’informe de la venue de deux Iroquois et de leur retour chez eux avec deux Montagnais, puis part pour la traite à Trois-Rivières. ...
... Le 13 juillet, Guillaume de Caën arrive à Québec128, et Champlain ne tarde pas à s’entretenir avec lui de la situation de la Compagnie de Montmorency qui manque de moyens financiers et pour laquelle la réussite de la saison de traite est cruciale. ...
... De Caën et Champlain envisagent enfin, et ce n’est pas la moindre de leurs décisions, de créer un comptoir de traite chez les Iroquois. Il est possible d’atteindre leur pays par l’Atlantique. ...
... Le 16 juillet, Champlain et de Caën partent tous les deux pour la traite des fourrures sur l’ile Saint-Ignace, en face de l’embouchure de la rivière Richelieu. Ils arrivent le 23 et retrouvent Gravé. ...
... Le retard de De Caën est également dommageable pour la traite des fourrures, car des contrebandiers rochelais en profitent pour traiter avec les Autochtones154. ...
... Il révèle à Champlain les importants préparatifs qu’il a faits pour la saison de traite de 1624. ...
... Un autre indice suggérant qu’ils ont atteint le lac Michigan est la description de la nation autochtone, avec laquelle ils ont ensuite traité des fourrures. ...
... également pu observer les coutumes des Puants, en particulier celle de couper le nez des femmes adultères, une pratique dont le père de Charlevoix attestera plus tard l’existence chez les Sioux165 : L’un de nos Français nommé Grenole, ayant été à la traite ...