... Il a expédié seize génisses, mais sept ou huit n’ont pas survécu à la traversée de l’Atlantique80. ...
Samuel de Champlain - biographie
... Champlain pense que « ce serait déclarer une guerre ouverte et perdre pour un temps le pays, jusqu’à ce que l’on eût exterminé cette race, et par le même moyen perdre les traites du pays ou pour le moins bien les altérer ». ...
... La guerre entre la France et l’Angleterre à partir de 1627 a provoqué un arrêt du commerce entre les deux pays, ce qui a poussé les Kirke à se tourner surtout vers la traite des fourrures. ...
... Seulement sept vaches ont échappé aux flammes. Six d’entre elles seront tuées par des Amérindiens, tandis que la septième s’enfuira dans les bois, avant d’être ramenée à Québec (G. Sagard, Histoire du Canada, op. cit., p. 919). 110. ...
... De plus, la ration quotidienne de chaque Français de l’habitation n’est plus que de sept onces de pois par jour, c’est-à-dire à peu près deux cent dix grammes117. ...
... Aidé par son beau-frère encore célibataire Guillaume Hébert, par son épouse Guillemette Hébert et par sa belle-mère Marie Rollet, Guillaume Couillard exploite de six à sept arpents 128. G. Sagard, Histoire du Canada, op. cit., p. 940. 129. ...
... d’une vingtaine de kilomètres, faute de pouvoir pêcher et chasser efficacement par manque de matériel : En attendant la moisson, on était tous les jours à la recherche des racines pour vivre, ce qui causait de grandes fatigues, car on faisait six à sept ...
... Il est donc chargé de construire des forts et des forteresses, de rendre la justice, de s’allier avec les Autochtones, d’explorer la Nouvelle-France et de lutter contre les contrevenants au monopole de la traite des fourrures, mais il n’a sous ses ordres ...
... L’une d’elles autorise un éventuel navire venu pour faire la traite des fourrures illégalement à commercer dans la vallée du Saint-Laurent, à condition de fournir des vivres aux habitants de Québec. ...
... Il répond par la négative, sans préciser que le traité de Suse mettant fin à la guerre francoanglaise a été signé le 24 avril 1629. Champlain s’exclame alors : « Pourquoi donc venez-vous nous troubler ici, puisque nos princes sont en paix ? ...