... L’arrivée d’un groupe de six hommes, dont des Français, en août 1634 dans le lac Oneida, pour la traite des fourrures, est attestée par le journal d’Harmen Meyndertsz van den Bogaert à la date du 30 décembre 1634. ...
Samuel de Champlain - biographie
... La traite est désormais terminée à Trois-Rivières et son bilan est maigre : trop peu de Hurons sont venus cette année. Il est temps maintenant, pour le général de la flotte, de préparer son retour en France. ...
... Ils ont été longtemps à la traiter, amis enfin ils l’ont conclue167. » L’artisan de cette paix est Oumastikoueiau, appelé aussi La Grenouille, un chef algonquin de la Petite-Nation. ...
... Elle est destinée à aller à la traite, mais en descend le père Pierre Pijart qui veut se consacrer aux Hurons. ...
... La traite avec les Hurons est autorisée à Québec parce qu’il n’y a pas d’Anglais en vue sur le Saint-Laurent. ...
... Celle-ci serait rompue, si l’on en croit une lettre écrite à leur supérieur le 10 août par les pères Buteux et Massé, désormais tous les deux à Trois-Rivières : « Le bruit est, là-haut, que les Iroquois ont défait sept canots de la Petite-Nation des Algonquins183 ...
... Le moment venu, le père Le Jeune a bien rempli sa mission : « Le vingt-septième du même mois [août 1635], nous avons vu, sur les neuf heures du soir ou environ, une grande éclipse de Lune, laquelle, à mon avis, n’aura paru en France que sur les deux ou ...
... Le recours à sept témoins est obligatoire. À Québec, l’entourage de Champlain joue la prudence et en ajoute un huitième. Reste le problème du rédacteur. ...
... Il donne le reste, meubles et immeubles, à sa cousine Marie Camaret, dont le mari Jacques Hersant est alors contrôleur des gardes au bureau des traites foraines et domaniales à La Rochelle263. ...
... Champlain se rêvait alors conquistador, à l’image de Cortés conquérant l’empire aztèque : « Macuregary, première ville riche de l’Inca, laquelle je voudrais prendre, y étant arrivé avec sept ou huit cents hommes et deux pétards. ...