... Ainsi, au début de janvier 1635, un Montagnais « à demi fou » est venu de Trois-Rivières à Québec. ...

Samuel de Champlain - biographie
... Campeau, « Les commencements du Collège de Québec (1626-1670) », Cahiers d’ histoire des jésuites, 1 (1972), p. 63. ...
... chapitre 17 • Derniers espoirs pour Québec (1632-1635) 687 Les arrivées ne s’arrêtent pas là, car le 12 juillet, c’est au tour du SaintJacques commandé par le chevalier de la Roche-Jacquelin d’accoster à Québec. ...
... Ces pauvres barbares tressaillaient d’aise, mettant les mains sur leur bouche en signe d’étonnement181. » Le 23 juillet, le père Buteux quitte Québec et retourne à Trois-Rivières. ...
... Le père Dequen reste à Québec, tandis que le père Le Jeune retourne à Trois-Rivières le 15 septembre186. Se préparer à bien mourir Depuis son retour à Québec, Champlain se montre très dévot. ...
... De 1633 à 1635, l’ouvrage lu à Québec, le soir, à la table de Champlain, est sans doute Les Fleurs des vies des saints du jésuite Pedro de Ribadeneyra, dans la traduction française de René Gaultier, parue pour la première fois à Paris, rue Saint-Jacques ...
... Il notera que la ville est gardée comme une forteresse en France et que « la Diane nous réveille tous les matins196 ». Le fort Saint-Louis sera alors surtout un établissement militaire, où les sons des tambours rythmeront ordinairement la journée. ...
... Georges Gauthier-Larouche, L’Église pionnière de Québec. Origines et fondateurs (1615-1664), Québec, Septentrion, 2014, p. 70, note 1. 201. Monumenta, t. III, op. cit., p. 254. 202. ...
... Ainsi, dès le 23 mai 1633, à son arrivée à Québec, Champlain a été salué par le père Le Jeune210. ...
... Ainsi, le 27 octobre 1632, à Québec, le père Le Jeune a pu observer une éclipse de Lune à six heures du soir. ...