Tarieu de Lanaudière (Les)

Tarieu de Lanaudière (Les)

Page 141

... La guerre, l’exil puis le changement de gouvernement créent cependant de l’incertitude notamment en ce qui a trait aux biens immobiliers, au commerce des fourrures et à l’argent de papier. ...

Page 145

... On y retrouve notamment sept chambres, un cabinet d’étude et une pièce pour les domestiques. Les maisons des de Lanaudière sont mises en vente par Gabriel Elzéar Taschereau, tuteur des enfants mineurs13. ...

Page 150

... La fortune des Tarieu de Lanaudière en France Toutes les ramifications des finances de Charles-François ne peuvent être traitées ici. ...

Page 155

... Charles-François peut également compter sur la rente de sept contrats provenant de la conversion de ses reconnaissances du Canada. Ceux-ci montent à 35 020 livres et lui rapportent 2 ½ % d’intérêts par an56. ...

Page 156

... Parmi les dépenses, on note, en 1770, une traite de 20 000 livres à François Baby. Le billet de 12 000 livres de Marchal Sainscy est encore en portefeuille à ce moment. ...

Page 162

... En tout, il détient sept contrats de rente qui montent à la somme de 35 020 livres81. Ceux-ci lui rapporteront une rente annuelle de 4 1/2 %. Les de Lanaudière reçoivent cette rente chaque année au moins jusqu’en 1788. ...

Page 163

... Dans le traité de Paris, le roi de France s’engage à payer tous les billets et lettres de change, et ce, dans un délai raisonnable. Les autorités britanniques procèdent ainsi à l’enregistrement du papier canadien. ...

Page 164

... À son avis, ce décret est contraire à ce qui avait été prévu dans le traité de Paris. Une convention est enfin signée entre les deux couronnes quelques jours après la lettre rédigée par Thouron, le 29 mars 1766, et règle cette question litigieuse. ...

Page 165

... L’abolition des congés de traite, l’âge de Charles-François et la forte compétition des Britanniques peuvent expliquer en partie cet état de fait92. ...

Page 168

... Tandis que Louis s’engage à monter lui-même dans les pays d’en haut pour y traiter et échanger les marchandises de la société avec les « sauvages », Charles-Louis s’occupera de recevoir et de vendre les fourrures à partir de Montréal. ...