... En résumant les faits, on peut expliquer qu’au départ, le Canada avait tous les atouts en main : il avait été invité officiellement par le Niger ; les statuts proposés par Diori ne concernaient que les seuls États souverains capables de signer un traité ...

Triangle Québec-Ottawa-Paris (Le)
... En un mot, c’est le Canada et non pas un traité international, ni Paris ou l’Afrique, qui permettrait au Québec de participer à la francophonie internationale. ...
... De son côté, le gouvernement fédéral pouvait se réjouir de la signature tardive du traité de Niamey : malgré tout, la conférence n’avait invité que le Canada à titre de pays souverain. Seul Ottawa avait signé ce document de valeur internationale. ...
... Cependant, la cause indépendantiste serait dorénavant défendue au Québec avec vigueur par sept députés élus du Parti québécois, qui a remporté 23 % des voix lors des élections d’avril 1970. ...
... La « guerre diplomatique » est terminée 353 événement important, quelques jours après la signature du traité établissant une agence de coopération culturelle entre pays francophones, pouvait contribuer, à sa manière, à rétablir, sur une base plus normale ...
... position canadienne à Niamey II sur le statut du Québec en francophonie, Pierre Trudeau pouvait-il se payer le luxe, dans sa capitale, d’exclure le Québec de l’Agence francophone, en se montrant rigide, en refusant de lui accorder cette opportunité qu’un traité ...
... une surcharge à l’exportation de 15 % sur les produits importés du Japon et de l’Europe, qui s’appliquait également au Canada, principal partenaire commercial des Américains, qui découvrit subitement qu’il ne pouvait s’attendre, d’aucune façon, à un traitement ...
... En outre, le gouvernement français n’était pas favorable à un accord formel Canada-Europe, de peur que les Américains ne veuillent obtenir un traitement semblable dans le but de consolider leur influence en Europe. ...
... La France serait dirigée pendant sept ans par un centriste, même s’il confia immédiatement le poste de premier ministre à son allié gaulliste, Jacques Chirac. ...
... Économiste de grande renommée, ancien ministre des Finances de Charles de Gaulle, marié à une élégante aristocrate, Anémone de Brantès, ayant mené une campagne dynamique, à l’américaine, Giscard était bien traité par les médias écrits ou électroniques ...