Un Bleu du Québec à Ottawa

Un Bleu du Québec à Ottawa

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... C’est en avril ou en mai que l’on m’a amené à Québec voir papa. ...

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... 18 UN BLEU DU QUÉBEC À OTTAWA celui sur lequel il comptait pour perpétuer son nom dans la profession juridique, était une épreuve bien cruelle. Il en avait pourtant connu d’autres. ...

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... DU QUÉBEC À SAINT-HYACINTHE 19 emménageons, maman, Jean et moi, mais Françoise qui s’est habituée aux bons soins de tante Renée décide de demeurer chez grand-papa Lussier. ...

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... 20 UN BLEU DU QUÉBEC À OTTAWA le seul souvenir que j’ai de ce jour. Pour une raison quelconque, après quelques semaines, on m’informe que je devais aller à l’école Larocque située à la même distance mais en direction opposée. ...

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... DU QUÉBEC À SAINT-HYACINTHE 21 disposé à considérer mon cas. Dans l’éventualité d’une greffe, la méthode d’alors présupposait que maman fournisse de sa peau. ...

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... 22 UN BLEU DU QUÉBEC À OTTAWA rejoindre. Tous les trois, nous décidons d’aller nous promener sur la surface bien glacée de la rivière Yamaska qui, en face de la résidence des Lussier, borde la rue Girouard. ...

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... Un ami de grand-papa Lussier, Léonide Perron, alors ministre de la Voirie dans le gouvernement Taschereau, avait laissé savoir que son ministère était disposé à l’engager à Québec. ...

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... 24 UN BLEU DU QUÉBEC À OTTAWA Toutefois, on ne nous en parlait pas précisément. ...

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... Chapitre II QUÉBEC ET LES PENSIONNATS L ’oncle Jean-Paul Bolduc qui venait d’épouser une sœur de maman, Thérèse, nous prit sous sa responsabilité à notre arrivée à Québec. ...

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... 26 UN BLEU DU QUÉBEC À OTTAWA qu’il ne s’ennuie trop. En vérité, je m’ennuyais autant, sinon plus que lui... Je comprenais de plus en plus ce que signifiait d’être orphelin et j’imputais à ce fait d’être pensionnaire. ...