... Durant les sept semaines de la campagne électorale, le premier ministre passera moins de trois jours à Montréal. ...

Un pays en conflit
... En privé, il se plaint d’être ostracisé, d’être « traité en lépreux » par des figures comme Lemieux et « les autres ». Le sénateur Laurent-Olivier David lui conseille de ne pas s’attendre à ce que le Parti libéral l’accueille à bras ouverts. ...
... Parmi les élus figurent sept nouveaux venus : Emmanuel d’Anjou dans Rimouski, Hermas Deslauriers dans Sainte-Marie (à Montréal), Joseph-Fernand 61. Sur Daniel Gallery, voir Dutil, L’avocat du diable, op. cit. 62. S.W. Jacobs à C.M. ...
... Les problèmes seront traités à mesure qu’ils surgiront. Borden confie l’Ontario à Reid et à Rowell, l’Ouest à Arthur Meighen et à James Calder, et les Maritimes à lui-même et à Carvell9. ...
... D’un seul trait, les unionistes viennent d’éliminer le principal obstacle à leur victoire totale en Ontario. Avec le recul, ce décret apparaît comme une énième manœuvre politique du gouvernement Borden pour assurer sa victoire. ...
... Dans les sept circonscriptions remportées par des unionistes, les soldats ont voté à 88,6 % en moyenne pour le Parti unioniste ; dans les quatre circonscriptions gagnées par des libéraux, les soldats n’ont appuyé le Parti libéral qu’à 17 % : même dans ...
... Les libéraux remportent 16 autres circonscriptions avec plus de 90 % du vote civil et sept autres avec plus de 80 %. ...
... Les élections de 1904, où les Manitobains avaient donné sept de leurs dix sièges aux libéraux, sont maintenant loin derrière. ...
... En 1911, la province a envoyé six de ses sept députés du côté libéral de la Chambre en votant à 53 % pour le parti de Laurier. Il n’en va pas de même en 1917. ...
... En 1908, le Parti conservateur a obtenu près de la moitié des voix et cinq des sept sièges de la province. ...