... (Cette clause ne s’applique en fait qu’au Québec et à la Nouvelle-Écosse, les autres provinces ayant déjà aboli le suffrage fondé sur des conditions de propriété et de revenu.) 26. Ibid. 27. ...

Un pays en conflit
... La formation de l’union n’avait toutefois pas pour but d’attirer des libéraux du Québec dans le gouvernement, et personne ne se plaint de leur absence. La seconde lacune réside dans l’absence d’un représentant de la Colombie-Britannique. ...
... Ce n’est pas le temps d’abandonner le navire69. » Dernier élément impondérable pour Laurier : la réaction d’Henri Bourassa au Québec. ...
... 168 u n pa y s e n c on f l i t Sir Wilfrid Laurier et William Lyon Mackenzie King au domicile de Sydney Fisher, Brome, Québec, 12 août 1915. Bibliothèque et Archives Canada, C-031020. ...
... C’est ainsi que Bourassa devient un allié des libéraux au Québec – une province où ils n’ont cependant « besoin de personne », écrira un biographe de Laurier73. ...
... La presse anglophone appuie les objectifs du nouveau cabinet, tandis que certains journaux du Québec (dont Le Soleil, Le Devoir et La Patrie) affichent un certain scepticisme79. ...
... Au Canada français, les libéraux occupent le haut du pavé dès son déclenchement ; au Canada anglais, c’est l’inverse : presque tous les grands quotidiens anglophones et l’ensemble des premiers ministres provinciaux (sauf Lomer Gouin au Québec) appuient ...
... Voir par exemple « Bourassa Rules if Laurier Wins », Manitoba Free Press, 5 décembre 1917, p. 2 ; « Shall Quebec, Which Will Neither Fight Nor Pay, Rule ? ...
... Il est le champion incontesté des cléricaux du Québec, cléricaux qui, comme leurs sympathisants, ne portent aucun amour à leur mère patrie, la France, ou à la gardienne de leurs libertés, la Grande-Bretagne. » Laurier et Bourassa sont liés l’un à l’autre ...
... La publication des premières données sur la conscription braquera encore plus l’attention sur le Québec. ...