Un tour de France canadien

Un tour de France canadien

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... À une époque où la colonie était tout entière sous la dépendance des compagnies qui détenaient le monopole de la traite des fourrures, Louis Hébert prouva, en cultivant la terre, la richesse du sol canadien. ...

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... Ils eurent sept enfants. Leur fille Anne épousa, en 1613, Henri de Buade de Frontenac, comte de Palluau. ...

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... La première pierre fut posée en 1645 par Le Val-de-Grâce Louis XIV, alors âgé de sept parisvie 9 ...

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... C’est donc ici que se régla le sort du Canada à la fin de la guerre de Sept Ans et que furent préparées les clauses du traité de Paris (1763). Le secrétaire d’État aux Affaires étrangères puis de la Guerre était alors Choiseul. ...

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... En 1654, à l’âge de dix-sept ans, il entre au noviciat des Jésuites à Nancy, puis étudie successivement à Auxerre, Reims, Charleville, Langres et Pont-à-Mousson. ...

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... Ils y fondent plusieurs postes de traite, à la grande inquiétude de la colonie française qui comprend trop tard son imprudence. ...

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... Il y discute avec brio les clauses du traité de 1713 qui cède l’Acadie aux Anglais. ...

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... Ce n’est qu’en 1726, lorsque son frère fut nommé commandant du nord du lac Supérieur, qu’il commença à s’intéresser à la traite des fourrures, puis à l’exploration de l’Ouest canadien. ...

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... La traite des fourrures, le commerce et l’agriculture sont les trois entreprises sur lesquelles s’est édifiée sa fortune. ...

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... Apprenant que Pierre Dugua de Monts avait reçu le monopole de la traite des fourrures en Nouvelle-France, il demanda et reçu l’autorisation de l’accompagner. ...