Une force tranquille

Une force tranquille

Page 92

... On y enseignait les façons de faire au Québec. En souvenir, on m’a remis, entre autres, un cadre en bois représentant une pagode, fabriqué entièrement par des artisans cambodgiens. ...

Page 93

... Il me remercia sincèrement pour sa venue au Québec, car il me révéla que j’avais émis son certificat de sélection pour le Québec. ...

Page 94

... Durant une autre mission, j’ai séjourné à Manchester, une petite ville du New Hampshire. ...

Page 95

... J’ai aussi rencontré Jean-Bertrand Aristide, président d’Haïti, que j’ai accueilli sur les marches de l’Assemblée nationale du Québec. Je ...

Page 96

... Je faisais la navette entre Sherbrooke, Québec et Montréal sans arrêt. Heureusement que j’avais une voiture de fonction et un chauffeurgarde du corps. Un ministre ne pourrait remplir ses obligations s’il devait en plus conduire de longues heures. ...

Page 97

... La veille, avant mon départ pour Québec, nous nous étions baignés et nous avions fait un barbecue. Il m’avait dit qu’il était parfois étourdi lorsqu’il se mettait la tête dans l’eau. ...

Page 99

... J’occupais celui du cabinet de l’Immigration à Québec, dans l’édifice Marie-Guyart. Avec une vue superbe sur l’île d’Orléans, le parlement et l’édifice voisin qui abritait le Conseil du trésor et le bureau du premier ministre. ...

Page 101

... ministre du Québec. ...

Page 102

... Philippe Gervais était aussi à mon cabinet à Québec. ...

Page 103

... Le 2 mars 1990, Claude Ryan, Jean Charest et moi annoncions une subvention de 15 M$ à l’Université Bishop’s et au collège Champlain, dans le cadre d’une entente Canada-Québec. ...