Une force tranquille

Une force tranquille

Page 121

... * * * Sur la scène politique québécoise, l’année 1998 a été marquée par le départ de Daniel Johnson et l’arrivée de Jean Charest comme chef du Parti libéral du Québec. ...

Page 122

... Les dés sont maintenant lancés et le Parti libéral du Québec est à la recherche d’un chef capable de développer économiquement et socialement le Québec, d’un leader qui sera en mesure de rassembler les fédéralistes québécois afin de battre le Parti québécois ...

Page 123

... Quelqu’un qui connaît le Canada et qui aime le Québec. ...

Page 124

... L’endroit était rempli de partisans du Parti conservateur et du Parti libéral du Québec. ...

Page 126

... Le 30 novembre 1998, j’ai été réélue avec une majorité de 3 679 votes, mais malheureusement le Parti libéral du Québec est demeuré dans l’opposition. Au moins, Jean Charest lui triomphait dans Sherbrooke. ...

Page 127

... c h a pi t r e 6 • L’ap pre nti ssage de l ’o p positio n 127 de la campagne de jouets des pompiers, à la journée des Townshippers, à la Fête nationale du Québec, au souper du Buffet des nations, aux rencontres chez Sercovie. ...

Page 130

... Ces relations sont tout à fait indépendantes de celles des gouvernements du Québec et du Canada. Elles contribuent à renforcer la démocratie et la paix. ...

Page 131

... Dans Saint-François, mes principaux adversaires étaient Guillaume Breault-Duncan, du Parti québécois, et Michel-André Samson, de l’Action démocratique du Québec. Mon agente officielle était Myriam Paré, notaire, et mon organisatrice Nicole Forcier. ...

Page 132

... Jean Charest devient premier ministre du Québec et nous formons désormais un tandem inséparable. ...

Page 133

... Le Québec non plus ne peut le faire, mais il envoie tout de même dès 1871 des « agents d’immigration » à l’étranger, en l’occurrence aux États-Unis et en Grande-Bretagne. Ce réseau diplomatique naissant s’étend très ...