Une histoire du Québec racontée par Jacques Lacoursière

Une histoire du Québec racontée par Jacques Lacoursière

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... 26 Une histoire du Québec racontée par Jacques Lacoursière plusieurs enfants, l’intendant établit un genre de système d’allocations familiales : « À l’avenir, les habitants dudit pays qui auront jusqu’au nombre de dix enfants vivants, nés en légitime ...

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... 28 Une histoire du Québec racontée par Jacques Lacoursière découvrir qui se bornent d’un côté aux mers du Nord et de l’Ouest, et de l’autre côté à la mer du Sud comme de toute leur longitude et profondeur ». ...

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... Apprenant la nouvelle, Louis XIV aura un commentaire plutôt lapidaire : « La découverte du sieur de La Salle est fort inutile. » Malgré tout, Québec devient le cœur d’un vaste empire ! En 1689, le « cœur » est menacé. ...

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... 30 Une histoire du Québec racontée par Jacques Lacoursière la vallée du Saint-Laurent. Son mot d’ordre est clair : « Canada must be reduced ». ...

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... À Québec, à la mi-octobre, apprenant qu’ils ont échappé pour la deuxième fois à une attaque, les habitants ne cachent pas leur soulagement. ...

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... 36 Une histoire du Québec racontée par Jacques Lacoursière que faire de leur donner la question pour tout savoir. » C’est surtout la jeunesse qui encourt le plus de reproches. ...

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... 38 Une histoire du Québec racontée par Jacques Lacoursière il faut faire abstinence. Or, dans la colonie, le castor est très abondant. Il est important de savoir s’il est un animal ou un poisson. ...

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... Au cours de l’hiver 1702-1703, 13 pour cent de la population de la ville de Québec, soit 260 habitants, meurent de la variole. De quoi faire mentir Boucher ! La colonie dispose de cinq établissements hospitaliers. ...

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... 40 Une histoire du Québec racontée par Jacques Lacoursière Au début des années 1690, les deux villes possèdent un hôpital général destiné à accueillir les pauvres mendiants, valides ou invalides. ...

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... On ne remarque même ici aucun accent. » Une décennie plus tard, Pierre-Olivier Thoulier d’Olivet, membre de l’Académie française, ajoute : « On peut envoyer un opéra au Canada et il sera chanté à Québec note pour note et sur le même ton qu’à Paris ; mais ...