... Voir « Causes of French Canadian emigration to the United States » dans leur article « French Canadian Emigration to the United States, 1840-1930 », Readings in Québec History, Marianopolis College, 2000. ...

Une race d'étrangers
... L’écart salarial entre les salaires obtenus au Québec rural et ceux des villes industrielles de la NouvelleAngleterre était probablement plus important que ne le montrent ces données. ...
... La population de jeunes hors des grandes villes augmente au milieu du siècle37. Les jeunes de 1851 atteignent leur majorité dans les années 1860 et 1870, au moment où le mouvement d’émigration commençait à prendre de l’ampleur. ...
... 221 Saint-Ephrem d’Upton, au Québec à Lowell, en 1864. Le périple dure cinq jours, et les enfants ont dû payer le plein tarif dans le train. Il fallait une journée entière pour se rendre de Saint-Ephrem à Sherbrooke, au Québec. ...
... Pour l’accueil des nouveaux immigrants dans les villes industrielles, voir Brault, op. cit., p. 56-59. 41. ...
... Les coûts élevés de transport et d’installation expliquent en partie pourquoi le taux d’émigration nette du Québec vers l’Ouest canadien était faible. Le voyage à lui seul était assez coûteux. ...
... Mais ces projets échouent en grande partie, parce que, tout comme dans le cas d’un déménagement du Québec vers l’Ouest canadien, les frais de réinstallation étaient trop onéreux46. ...
... Les Canadiens français du Québec n’ont pas eu droit à de telles largesses, pas plus que les Franco-Américains. ...
... Cependant, les mauvaises conditions de vie dans les villes industrielles continuent d’alimenter une ouverture quant à la rhétorique du rapatriement. ...
... Mais la réussite d’une transition du travail dans les usines à la vie rurale au Québec exigeait des capitaux, et la « posture financière » des Franco-Américains n’était en réalité pas ce qu’elle aurait dû être. ...