Une sorte de paradis paysan?

Une sorte de paradis paysan?

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... La Compagnie a aussi continué à utiliser la seigneurie comme principal moyen de recrutement, se réservant Québec et ses environs comme domaine lui appartenant, et émettant vingt-deux concessions seigneuriales à partir de 1633 à ceux qui avaient la volonté ...

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... Bien que des manœuvres, des marins et des pêcheurs contractuels à court terme provenant de villes portuaires comme La Rochelle venaient en Acadie, ces seigneurs, sans surprise, préféraient choisir des compagnons, des conseillers et des colons parmi leurs ...

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... Entretemps, La Tour, qui avait habité à Québec, était retourné en France pour demander à ce que sa commission en tant que gouverneur et sa concession sur la rivière Saint-Jean soient de nouveau reconnues, ce qu’il obtint. ...

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... Jacques Gagnon, Un sorcier en Acadie, Québec, Éditions historiques et généalogiques Pepin, 2008, p. 3. ...

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... Il servit à Québec, au fort Frontenac et à Montréal, mais continua tout de même de s’intéresser à sa seigneurie. En 1705, le roi confirma que sa concession comprenait Beaubassin et Chipoudie, où un autre groupe de colons acadiens était installé. ...

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... (près de Nashwaak) François Genaple, sieur de Bellefonds Notaire royal, huissier à Québec Magos (Maine) Jean Martel Ancien soldat, marchand à Port-Royal Kennebecasis Pierre Chênet Du Breuil Procureur du roi à Port-Royal, marchand Le long de ...

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... Des seigneurs comme les Saint-Castin, les d’Entremont et les Damours ont profité de leurs relations étroites avec les communautés autochtones locales et celles du Québec pour prendre le contrôle du commerce. ...

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... En 1683, il s’est plaint auprès de l’intendant, à Québec, que La Vallière empiétait sur ses droits de pêche. ...

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... La Vallière avait également cherché à imposer des contrats de travail aux habitants, ce que la cour royale à Québec avait jugé au-delà de ses pouvoirs59. ...

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... Il y avait aussi une cour municipale (prévôté) qui était subordonnée à la cour royale et qui traitait des affaires policières générales dans la ville. « Miromesnil au CG », 25 février 1690, série G7 519, AN ; Auguste-Louis Lerosey, Loudun : histoire civile ...