... Mais il n’y avait pas que John qui avait l’esprit dérangé dans cette famille. En effet, Thomas, le fils aîné du couple Bradley, avait la réputation d’avoir le cerveau troublé au point ...
Vengeance des mal-aimés (La)
... Une rumeur voulait qu’une certaine animosité régnât entre les membres de la famille. Début de l’enquête L’après-midi touche à sa fin quand le docteur Léopold Renaud, coroner du district judiciaire du Pontiac, arrive sur les lieux du carnage. ...
... Elle semble soupçonner son mari d’avoir eu quelque chose à faire avec la mort de sa belle-famille. ...
... On suppose alors que le mobile du crime est soit la haine – certains estiment qu’il régnait de l’animosité entre des membres de la famille – soit le vol. ...
... À 15 heures 30, le médecin légiste Jean-Marie Roussel, du laboratoire de médecine légale et de police technique du Québec à Montréal, procède à l’autopsie des victimes de la famille Bradley, dans la maison même des cinq personnes assassinées, et ce, en ...
... Reste le mobile, le ce pourquoi Michael a massacré sa famille. Ce mobile ne saute pas encore aux yeux des policiers. ...
... Né en 1910 à Pembroke, en Ontario, Albert Demers grandit au hameau de Demers Centre à l’île aux Allumettes d’où sa famille était originaire. Il sculpte dès son plus jeune âge des animaux ou des personnages qu’il vend au marché de Pembroke. ...
... Il accuse carrément Joseph Cantin d’avoir assassiné sa famille parce que son père, Joseph, lui aurait refusé de l’argent ou du foin, puis décrit le déroulement du massacre que le shérif note dans un calepin bleu. ...
... Marcel Hank Gaboury, Lettre d’un juge dans Le Maclean, septembre 1973, p. 28, aimablement transmise par Mme Rachel Demers à l’auteur. Dans sa lettre, Marcel Gaboury a inversé les prénoms de John et de Thomas que l’auteur a rétablis. ...
... Maison de la famille Bradley. Elle ne sera jamais plus occupée et sera enfin démolie longtemps après le drame. Collection History and Folklore of Pontiac County, 1983. Archives du Pontiac, Shawville, Qc. ...