... Édition : Marie-Michèle Rheault Révision : Andréanne Turcotte Mise en pages et maquette de la couverture : Pierre-Louis Cauchon Si vous désirez être tenu au courant des publications des éditions du Septentrion vous pouvez nous écrire par courrier, par ...
Vengeance des mal-aimés (La)
... Deuxième d’une famille de huit enfants et né le 24 mars 1849 à Saint-Eustache du mariage de Maxime Bélanger avec Théotiste Poirier, ce bon travailleur a la chance d’épouser, en 1875, non seulement une femme aimante, mais aussi une femme qui a un sens ...
... MarieLouise s’est mariée il n’y a pas longtemps. Aurais-tu osé lui donner un tel mauvais exemple ? Reviens-moi. Ce que tu fais est abominable… Cléophée réfléchit, pèse longuement le pour et le contre. ...
... Mais comme le père du détective McCaskill vient de mourir à Québec, l’enquête est rapidement ajournée au 5 mars après que Bélanger ait plaidé non coupable. Cette plaidoirie vient en totale contradiction avec ses aveux qui ont été rendus publics. ...
... L’enquête préliminaire reprend le 5 mars 190327 et il y a foule au palais de justice. Les journaux rapportent qu’il y a de nombreuses femmes et même des jeunes filles, ce dont les bienpensants se scandalisent. ...
... Par ailleurs, le 11 mars 1903, devant une salle bondée de curieux, le juge Carrier condamne Bélanger à « comparaître devant ses pairs pour y subir son procès ». ...
... La visite aura lieu le 17 mars et aidera les jurés à se faire une bonne idée du drame. Puis commence le 29. Les détails du procès sont tirés du dossier RG13, vol. 1445, dossier 357A pt. 1, Archives et Bibliothèque Canada. ...
... Il ne mettait pas lui, de passion dans la discussion. » Toujours est-il que Filion se doutait bien que son gendre avait occis son beau-fils. « J’ai gardé mon secret pour moi seul, et ça me pesait comme une boule », dira-t-il au tribunal le 18 mars. ...
... Il lui demande si elle n’a pas dit à sa sœur, Marie-Louise : « Je sais qui a tué mon oncle et tu le sais toi aussi. » L’avocat Wilson fait objection, mais le juge passe outre. Leduc répète la question et la jeune femme répond par la négative. ...
... Soulignons qu’à cette époque, la femme mariée était réputée mineure et qu’elle devait obtenir l’autorisation de son mari pour accepter un héritage. Le testament est alors lu : Je recommande mon âme à Dieu. ...