Vie libertine en Nouvelle-France au XVIIe siècle (La)

Vie libertine en Nouvelle-France au XVIIe siècle (La)

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... Mais le dimanche précédent, sa femme, Marguerite Pinard, n’est pas moins traitée publiquement de libertine et de débauchée par Pierre Bautron dit Laramée, habitant du lieu. Ce dernier « l’avait vue coucher avec [un] certain quidam ». ...

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... La traite des fourrures est alors des plus lucratives. Pour consolider sa position financière, Dupuis décide de s’éloigner du domicile conjugal pour les deux prochaines années. En 1687 et en 1688, il hiverne au poste de Michillimakinac. ...

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... Dareau, Traité des injures, op. cit., p. 193. ...

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... Retenons qu’au cours du procès, les déposants sont formels sur un point : durant la rixe, la femme Chénier a traité plusieurs fois son mari de « beau cornard9 ». C’est à la suite de cette injure que ce dernier poursuit Dupil « une hache à la main ». ...

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... Quant au mari, il prétend que La Ramée l’a maintes fois traité de cocu. On voit dans quel climat se déroulent les relations Paré-La Ramée. Au cours de l’interrogatoire, ce dernier se défend bien de n’avoir jamais « traité ledit Paré de cornard ». ...

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... À sept heures du matin, le 20 juin suivant, Anne Lamarque comparaît devant le tribunal bailliager de Montréal sous l’accusation d’avoir fait de graves entorses à la morale publique. ...

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... sans aucune force ni contrainte, qu’il a épousé, il y a environ 14 ans, en France, une femme âgée de 55 ans, nommée Louise de Lille, de la paroisse de Voutré en pays du Maine, proche de Sainte-Suzanne, et, qu’après avoir demeuré avec elle l’espace de sept ...

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... En 1681, au moins sept arpents de ses concessions ont été « désertés » et mis en valeur25. ...

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... Le dernier marché qu’il a bâclé avec le prévenu remonte à l’année dernière. « Ayant affaire avec ledit Maurice [concernant] l’achat d’une concession et s’en venir en ville [à] cet effet avec son fils âgé alors de sept ans », le déposant est entré chez ...

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... En 1691, avec sept soldats et sept colons, il défend vaillamment le fort de Contrecœur contre les Iroquois. Deux ans plus tard, Frontenac lui concède un autre fief sur la rivière Yamaska18. ...