... Quelque sept enfants naîtront de cette union53. Charlotte Mossion s’éteindra finalement à Québec, où elle est enterrée le 12 octobre 1751. 52. Françoise épouse Jean Duval à L’Islet, le 10 février 1733. ...

Vie libertine en Nouvelle-France au XVIIe siècle (La)
... Jean-Baptiste Thiers, Traité des superstitions qui regardent les sacrements, op. cit., p. 567. 2. Ne s’agirait-il pas plutôt de Riols, petite ville de la région de Béziers ? 3. Jean-Baptiste Thiers, op. cit., p. 570. ...
... La guérilla franco-amérindienne, l’exploration et la traite des fourrures réclament sans cesse plus de monde. Aussi est-il de bon aloi de se marier jeune et de remplir les berceaux. ...
... En 1673, fatiguée de ce régime, elle demande au tribunal de lui accorder la séparation de corps et de biens d’avec son volage mari39. À la suite de pareils traitements, d’autres épouses font chambre à part avec leur conjoint. ...
... Le 14 janvier 1692, la femme Alton s’adresse au tribunal bailliager pour obtenir séparation de corps d’avec son mari. La requérante fait état des mauvais traitements qu’elle subit journellement, « ainsi que de la dissipation de ses biens44 ». ...
... Vers 1671, Bourgeois aurait violé Jeanne Jacquereau, âgée de sept ans, dont les père et mère, venant de La Rochelle, se sont établis à Château-Richer, près de Québec. Les faits sont accablants pour le prévenu. ...
... Dareau, Traité des injures, op. cit., p. 246. 20. Archives judiciaires de Montréal, Bénigne Basset, 27 août 1662. Contrat de fondation par Jean Aubuchon dit Lesperance. 21. Fils de Jean Aubuchon et Jeanne Gilles, de Saint-Jacques, près de Dieppe. ...
... Par contre, pour avoir fait subir les derniers outrages à une fillette de sept ans, Jeanne Nacquereau24, un habitant de Château-Richer, Jean Bourgeois, est banni à perpétuité de la Nouvelle-France. ...
... On en relève sept ou huit cas. Chiffre peu élevé si l’on considère qu’il est relativement facile au nouvel arrivant de se dire célibataire ou veuf, quand il peut fort bien avoir déjà femme en France. ...
... Est passible de réparation d’honneur et d’amende pécuniaire quiconque traite quelqu’un de cornard ou simule des cornes avec ses doigts. Le tribunal bailliager de Montréal sévit contre pareils plaisantins, au moins à quatre ou cinq reprises. ...