... Dans la plus ancienne de ces études, le Louis Jolliet d’Ernest Gagnon, qui remonte à 1902, le chapitre sur « la musique à Québec au dix-septième siècle » est jugé exagérément enthousiaste par Willy Amtmann. ...

Vie Musicale en Nouvelle-France (La)
... Nous devions aussi poser des bornes terminales : fallait-il, à l’instar des historiens, s’arrêter à la Conquête, donc à la fin du Régime français scellée par le traité de Paris de 1763 ? ...
... Les Te Deum ponctueront les événements qui marquent, en Europe ou en Nouvelle-France, la vie sociale, politique ou militaire, comme les jubilés, les anniversaires royaux ou les traités de paix. ...
... 46 la vie musicale en nouvelle-france necessités du païs, pour les affaires de ce païs que l’on traite en France, pour les embarquemens, pour les missions d’en hault & d’en bas, pour etc.81 ». ...
... On court à la chapelle, on chante le Te Deum, qu’on entonnera aussi en 1653 à Québec pour la délivrance du père Poncet prisonnier des Amérindiens ou encore en 1666 pour la signature d’un traité de paix entre Français et Iroquois138. ...
... N’ayant jamais voulu joindre la basse continue, dont le principe était alors nouveau, à ses compositions vocales, l’œuvre d’Aux Cousteaux se rattache à la Renaissance, mais sa polyphonie et son traitement des textes montrent beaucoup d’élégance et de ...
... Les institutions religieuses 65 Le nombre des Prébendés [...] sera réduit et composé seulement d’un Doyen, d’un Chantre, d’un Théologal, d’un Pénitencier, d’un Archidiacre et de sept chanoines [...]. ...
... À Québec, de sept qu’ils étaient au départ (après six ans de tentatives, on renonça à inclure des petits Amérindiens280), le nombre des élèves augmentera lentement mais régulièrement281. ...
... Chacune des huit versions du Magnificat est dans un ton de l’Église différent, et ce ne sont que les versets pairs qui bénéficient d’un traitement polyphonique. Afin d’exécuter ces Magnificat, il faut trouver de la musique pour les versets impairs. ...
... Le fait que Girard arriva avec le Premier Livre d’orgue (1667) et le Traité de composition de musique (1667)315, de Guillaume-Gabriel Nivers, met en valeur l’importance de la « tradition de Nivers » en Nouvelle-France*. ...