Vivre en quartier populaire

Vivre en quartier populaire

Page 122

... Les promenades à la haute-ville sont le fait de près de la moitié des autres femmes et hommes rencontrés. ...

Page 123

... englobant quelques pâtés de maisons autour du domicile sont certes réalisées, mais une balade de moyenne ou de longue durée dans d’autres paroisses du quartier, où l’on considère qu’il y a peu à voir comparativement à la rue Saint-Joseph et à la haute-ville ...

Page 124

... 124 VIVRE EN QUARTIER POPULAIRE publique de l’anse au Foulon37, à Sillery, municipalité voisine de Québec, ou de ceux du lac Saint-Joseph, au nord de Québec, où il y avait également une telle plage. ...

Page 125

... Les secteurs situés au centre de la ville de Québec, capitale d’un État dont les champs d’action et la fonction publique sont en croissance dans la foulée de la Révolution tranquille des années 1960, sont fortement affectés par les projets routier et ...

Page 126

... Le premier centre à voir le jour dans la région de Québec est Place Sainte-Foy en 1958. Il est situé dans la municipalité du même nom à l’ouest de Québec, une des plus importantes villes de banlieue de la région en regard du nombre d’habitants. ...

Page 127

... Suit en 1963 Place Fleur-de-Lys, dans l’ouest du quartier Limoilou cette fois, à la frontière de la municipalité de QuébecOuest (qui deviendra Ville-Vanier). ...

Page 128

... Comme le relève Fradet pour le Québec, ils n’ont ainsi pas réduit le temps du travail domestique, effectué majoritairement par les femmes à cette époque. Fradet, op. cit., p. 40-41. ...

Page 129

... Ce geste, tout comme l’achat d’un téléviseur, a des répercussions considérables sur l’expérience du quartier et de la ville. ...

Page 130

... L’ouverture des centres commerciaux à la fin des années 1950 amène également une transformation importante des pratiques associées à l’achat de biens divers, à Québec comme ailleurs au Canada et aux États-Unis41. ...

Page 131

... Ce changement ne se fait pas de gaieté de cœur, comme le relate Mme Drolet : « J’ai eu d’la peine quand le Syndicat d’Québec a fermé. Oui. C’était mon magasin. Pis là après ça ben y a fallu tomber [aller] d’in centres d’achats.  ...