... L’évêque de Québec n’est pas le moins hostile : on comprend qu’il préfère des séculiers à ces religieux exempts9. Mais les prêtres manquent dans 7. ...

Vivre la Conquête, tome 2
... Cette proximité avec les fidèles à la ville et à la campagne explique sans doute pourquoi « les récollets étaient chéris et aimés de toute la population canadienne-française11 » comme le souligne Philippe Aubert de Gaspé. ...
... AAQ, 20A, Évêques de Québec, vol. 1, fol. 42. 17. AAQ, 22A, Copies de lettres, vol. 4, fol. 104. ...
... Acte de Québec, 1774, ibid., p. 372. Nous soulignons. ...
... À cette date, on compte 21 frères dans la colonie dont 13 prêtres et au moins 8 frères lais22, répartis entre les couvents de Québec, Montréal et Trois-Rivières en partie occupés par les Britanniques. ...
... Lettre de l’évêque anglican de Québec à l’évêque de Canterbury, 17 septembre 1796, BAC, MG11-CO42, vol. 109, fol. 390. 30. Archives du Séminaire de Québec, Polygraphie 22, no 31. ...
... Les frères de Québec auraient dû rejoindre le couvent de Montréal. Pourtant, ils demeurent à Québec et se logent comme ils le peuvent grâce à leur pension. L’incendie met donc fin à la vie conventuelle des frères de Québec. ...
... Félix de Berey, récollet 35 287 de Québec sont, il est vrai, des éléments qui échappent aux récollets. Mais il ne faudrait pas pour autant négliger les choix qui ont été faits entre 1670 et 1796. ...
... Mario Mimeault, « Raymond Bourdages », Dictionnaire biographique du Canada, Québec, PUL, 1980, p. 85 s. ...
... Bibliothèque et Archives nationales du Québec à Québec (désormais BANQ-Q), greffe Sanguinet, le 17 octobre 1760, don mutuel entre Raymond Bourdages et Esther Leblanc. 4. ...